Le « Pass Covid », rappel des sombres heures du passé.

Aujourd’hui, je vous présente le « Pass Covid »..


Cette jolie petite carte verte est proposée par notre chère, très cher député Six (des six en veux tu en voilà…), et commence déjà à être prônée de certains restaurateurs et responsables de lieux culturels, pour faire ouvrir leurs établissements un peu plus tôt, au nom de leur survie économique, mais certainement pas au nom de la dignité des idéologies qu’ils contribuent à diffuser.

Coucou valoche !


Souvenons-nous des parcs et jardins interdits aux chiens et aux juifs, souvenons nous des toilettes interdites aux nègres…Et rappelons nous qu’aujourd’hui, ce qui nous est proposé et qui est suivi si promptement par nos amis collaborationnistes, est ni plus ni moins d’interdire certains endroits publics, de plus en plus avec le temps j’imagine, aux personnes qui auraient refusé un vaccin, que les moins septiques de ceux qui osent encore se poser des questions refusent catégoriquement de prendre.

Souvenirs, souvenirs…


Voilà le monde qu’ils veulent, nos guides néolibéraux et leurs petites cours mainstream. Si vous voulez le même, qui s’imposera à moi et aux personnes vulnérables (mineurs, personnes en incapacité médicale, en précarité économique..), que j’estimerais donc vulnérables à vous, cela risque de poser quelques problèmes entre nous.


Dans une époque plus apaisée, ou les classes populaires ne subiraient pas une réelle et concrète guerre directe de la part du pouvoir bourgeois globalisé, de cet état profond organisé mondialement, sous l’égide de quelques grandes familles, de quelques grands industriels et financiers, ayant placé leurs pions politiciens pour vous contraindre et ayant racheté l’ensemble des médias mainstream et donc des portes voix qu’ils représentent pour vous conditionner, vous convaincre, vous matraquer de leurs informations, pour que vous souteniez leur guerre contre vous-même…

Dans une époque ou de « moins en moins risibles » kapos répètent à tout va, n’espérant même pas récolter quelques miettes des cadavres résultant des idéologies qu’ils répètent et qu’ils propagent, que la religion de la peur du covid tout puissant est la seule qui puisse guider toutes nos actions…

Dans une autre époque que celle-ci, je pourrais débattre de choses politiques, ne pas être d’accord avec mes interlocuteurs et les respecter quand même.


Mais aujourd’hui, les choses sont graves, trop graves et trop urgentes pour pouvoir suivre, être en accord et pouvoir continuer à vivre avec des possédés religieux, qui obligent et contraignent les autres à leurs croyances, directement, ou indirectement, consciemment, ou inconsciemment.

Les dégâts provoqués par ces perroquets du système de pouvoir fasciste, totalitariste du moment, sont trop grave pour être pris avec légèreté et ne pas globalement polluer leurs personnes toutes entières.

Je peux partager certaines idées avec ces personnes, je veux dire, d’autres idées, je peux même les partager en public et dire que ces idées viennent d’eux.

Ceci est possible, mais ma considération, ma capacité de vivre avec des personnes capables de cautionner les atrocités du moment, le masquage de la population dont les enfants, l’isolement des personnes âgées, quand ce n’est pas leur euthanasie collective institutionnalisée au rivotril, aujourd’hui cet histoire de « pass Covid » et demain la vaccination obligatoire pour tous, peut-être jusqu’à la pénalisation du refus de se vacciner avec un poison développé en quelques mois, sur lequel on a aucune recul autre que sur les bénéfices potentiels que se feront les industries pharmaceutiques dans l’opération...

Ceci m’est impossible et je ne peux qu’opposer à la radicalité de ce que ces personnes ne se rendent pas compte défendre, parfois avec beaucoup de zèle, ma totale séparation sociale de ces individus, mon radical combat contre les idées qu’elle diffusent.


A l’adresse de ceux qui cautionnent le fascisme covidien :

Ne croyez pas que je ne pense pas ce que j’écris..

.Ne croyez pas que je peux vous lire cautionner le fascisme et ensuite boire une pinte avec vous.

Les réseaux sociaux ne sont pas la vie, mais ils sont aussi la vie aujourd’hui. Celui qui tape sur son petit clavier reste le même, seul le support à changé. Étant privé de café du commerce, un peu grâce à vous, je continue néanmoins à vous entendre converser et je dois dire que faute d’être déçu, puisque peu surpris au final par vos attitudes face à la gravité et l’urgence de la situation politique (et non sanitaire), je reste bien mécontent de ce que j’entends, de ci, de là…

Vous avez des croyances, très bien, ce ne sont pas les miennes. Je ne respecterai vos croyances qu’à condition qu’elles ne m’y obligent pas, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui et malheureusement, certainement encore moins demain, tant que nos sociétés continueront de suivre le chemin actuel..

Je ne souhaite pas avoir un pouvoir de contrainte sur vous, mais, visiblement, certains d’entre vous souhaitent avoir un pouvoir de contrainte sur moi.

Je vous souhaite bien du courage, parce que ça ne sera pas facile de réussir à me contraindre.

Je comprends bien que si je me place dans votre point de vue radicalisé, pro covid, pro vaccin, pro mainstream, pro pouvoir en place, vous me considérerez en retour des idées que je diffuse, comme un afffreux complotiste, dangereux et irresponsable. De votre point de vue, je vous comprend, ne vous excusant pas néanmoins, à la vue de ce que vous provoquez pour des gens qui ne sont pour rien dans vos soutiens politiques (sanitaire me direz-vous…Scientifiques peut-être…)

La déchirure est donc actée, nous avons passé de bons moments, mais à la vue du fascisme très concret que vous cautionnez actuellement, je vous le dis, vous ne me manquerez pas.

https://lepetitcollaborateur.fr/2020/11/19/hold-up-la-dechirure-serait-elle-une-bonne-nouvelle/

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