Non ! Ne tuons pas Bill Gates !

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Aujourd’hui, des personnes m’ont relaté leurs inquiétudes sur la montée du fascisme actuel. 


« Je ne sais pas où on va, mais on y va ! » M’ont-elles indiqué, pleines d’incertitudes sur une situation politique et sociale qu’elles ressentent empirer. 


« Que faire ? Comment faire ? Faut-il tuer Bill Gates ? » 

Coucou Billou !


Je réponds évidemment que non. Tuer une malfaisance, n’est que créer une malfaisance supplémentaire. Et est-ce vraiment Bill Gates, le responsable de la situation actuelle, de la dictature sanitaire, des restrictions des droits et libertés fondamentales ?


Bill Gates, tout seul, avec ses petits bras, à part enfiler des pull roses moches en cachemire, il ne fait grand chose. Ce qu’il conviendrait plutôt de « tuer », c’est le phénomène qui résulte au fait que cette toute petite personne avec ses petits bras et ses pulls en cachemire, puisse décider de tant de choses avec toute la malveillance qui la caractérise. 

C’est à cela qu’il faut réfléchir. Comment, qui, pourquoi, une petite personne, ou un ensemble peu nombreux de toutes petites personnes, toutes organisées qu’elles puissent être, ont ce pouvoir sur nous, de nous dicter nos vies ? Qu’est-ce qui légitime cela ? Qui légitime cela ? 


Au bout de la chaîne de légitimations de pouvoir, c’est bien nous, le peuple, la masse, qui écoutons et obéissons à ces toutes petites personnes, qui face à nous, agitant leurs petits bras, nous paraissent bien ridicules. 

Il convient alors de se poser une autre question :

D’où vient ce pouvoir grossissant, cette illusion projetée à nos yeux, qui nous convainc que ces toutes petites personnes ont ce pouvoir sur nous, que ce pouvoir est légitime, inéluctable et que notre devoir est d’y obéir ?

Comme pourrait le dire ce cher Laurent Alexandre dans son interprétation toute personne de l’ouvrage « les dieux et les inutiles », ces toutes petites personnes ont été érigées comme les dieux et nous sommes érigés dans cette petite histoire, ce conte pour enfant, ou adultes conditionnés à l’infantilisation citoyenne, comme les inutiles. Inutiles, pas si inutiles que ça, puisque c’est avec nos tout aussi petits bras (mais bien plus nombreux et donc d’une puissance colossale lorsqu’ils sont coordonnés dans un but commun) que ceux de Bill Gates, que nous faisons, ce que ces bien peu nombreux, décident que nous fassions. Pour faire suite à cette jolie histoire, qu’ils racontent lorsque c’est nous qui en fabriquons les livres et en tournons les pages, il paraîtrait qu’à force de travail acharné, les nombreux petits bras des masses populaires aient pu fabriquer assez de robots et d’intelligence artificielle, pour qu’il soit possible de se débarrasser de quelques-uns de ces inutiles, qui commencent à coûter plus qu’ils ne rapportent. Qui jettera le linge sale, à votre avis ? Bill Gates ? Non, ça sera bien vous, avec vos nombreux petits bras et vos toutes petites, de plus en plus petites têtes, qui vous en prendrez à d’autres petits bras avec des petites têtes, sous la bonne coordination de Bill gates et consorts…


Mais ce cher Bill, tout seul avec sa toute petite voix, serait bien incapable de vous dicter votre conduite. Il faut bien des intermédiaires à cela. Le mainstream (informations générales), les enseignants (conditionnements culturels), les médecins (conditionnement sanitaire), le conditionnement social et culturel…

Tout cela, ce sont les agents vecteurs des croyances des masses populaires, à avoir la foi sur l’inéluctabilité du pouvoir bourgeois sur elle. Au sein même de cette bourgeoisie de culture commerçante modelant la société à son image, une toute petite élite dicte les croyance à une sous bourgeoisie, qui elle, aura pour mission de semer sa parole d’autorité sociale et culturel, au tout venant social qu’elle côtoie, notamment au travail. Ce palier le plus bas de la bourgeoisie sociale, comprend pour les plus importants missionnaires auprès des basses classes d’entre eux, les enseignants et les médecins.


Pour contenir les élans potentiels de révolte, les forces de l’ordre sont en place, pour assurer la visibilité de la coercition légitime. 

La coercition légitime, légitime jusqu’à quand  ? Jusqu’à quel point ? Jusqu’à quelle privation de droits ou de libertés supplémentaires ? 


Jusqu’où, le pouvoir bourgeois repoussera t-il la limite de l’acceptation des classes populaires, de ses humiliations quotidiennes ? 

Dans la mesure ou l’on souhaite remettre tous ces états de fait sociaux et culturels en cause, ce qui s’accompagne naturellement d’une remise en cause du pouvoir politique et économique, tant dans sa pratique, que dans son organisation, il convient d’agir sur des leviers efficaces. 


Ce n’est pas pour rien qu’on appelle le pouvoir médiatique, le quatrième pouvoir, après les traditionnels pouvoirs exécutifs, législatifs et judiciaires. Concernant ces trois derniers pouvoir cité, il me semble que cela fait bien longtemps qu’ils ne font plus qu’un, que j’appellerai le pouvoir politique, qui par cette interprétation, paraît en rien démocratique (puisque pas de séparation des pouvoirs, le pouvoir médiatique, ne me semblant pas être plus séparé du reste). 


Internet, encore aujourd’hui incontrôlable (mais jusqu’à quand ?), a un certain intérêt en tant que contre pouvoir médiatique et culturel. Remettre le pouvoir social et culturel en cause revient à passer par le net. Cela reviendrait aussi à restituer les médias mainstream, pour ce qu’ils semblent être en réalité, des agents culturels du pouvoir en place. Leur rôle est la diffusion des conditionnements et croyances culturelles au peuple et au bas peuple. Ils informent et divertissent, au gré de ce qu’il convient pour le pouvoir en place, que les consommateurs de leurs sons et lumières pensent, des sujets auxquels il convient que ces consommateurs religieusement culturels réfléchissent, oublient, ou ne voient pas. 


Resituer les choses pour ce qu’elles sont, est un premier pas vers une prise de conscience nécessaire, amenant naturellement à ne pas vouloir végéter, dans un rôle de dindon de la farce social, exploité et manipulé au profit de si peu, si loin. Ces si peu, si loin, sont inatteignables et tant mieux, parce qu’en réalité, ils n’ont pas grande importance. Leur pouvoir n’est qu’illusion et c’est contre cette illusion qu’il est nécessaire de lutter.

Une fois cette illusion restituée en tant que telle, plus personne ne sera convaincu par elle. Plus personne n’y croira et il n’en découlera plus aucun pouvoir concret, de domination des uns sur les autres. 


Sans le pouvoir des illusions, des conditionnements longuement préparés, matraqués, coordonnés, banalisés, personne ne suivrait les Bill Gates, Rothschild, Rockefeller et leurs gouvernements marionnettes. En voyant les choses sans voile manipulatoire, il est très clair que tout ceci est une arnaque commerçante géante.  


Mettre à bas ses illusions regantes, voilà un combat effectif à mener. Il se mènera auprès des relais culturels mainstream, mais également auprès des relais culturels éducatifs et médicaux. 
Ces gens-là, les enseignants et les médecins, tout comme la plupart des journalistes,ne se rendent pas réellement compte de ce qu’ils font, de ce à quoi ils participent de manière tellement active, zélée. Au pays des collabos, ce sont les collaborationnistes, au même titre que tous ces perroquets du mainstream, qui par delà conversations de comptoirs (bien que la dictature sanitaire nous en ai privé), et commentaires sur les réseaux sociaux, assènent à tout ce qui déviait de la norme, leur discrédit et leur haine. 


Tout ces gens, les journalistes mainstream, les enseignants, les médecins, les flics, les perroquets du mainstream, ne sont surement pas à jeter…Peut-être ouvriront-ils les yeux un jour, même dans longtemps, même lorsque les paradigmes de pouvoir auront évolué et qu’ils deviendront résistant à partir de 1946…

Julien Dragoul, un chanteur de Music-hall, point à la ligne !



Je n’y crois guère, mais je suis peut-être trop défaitiste. 


Je ne pense pas, à la vue de l’état actuel du conditionnement de tous ces agents zélés du pouvoir bourgeois, qu’il convient de tenter de les convaincre. Je crois plus à la nécessité de les discréditer dans leur rôle, de les amener à se projeter dans leur rôle actuel, en cas de changement de paradigme de pouvoir. Malheureusement, j’ai bien l’impression que ces personnes y ont tellement été conditionnées, en profondeur, qu’elles n’agissent et ne réagissent plus que par la peur. Ce n’est pas du Covid, qu’elles ont besoin de se faire soigner, ou vacciner, mais bien de la peur qui les fait fonctionner en quasiment toute circonstance. 

Alors non, il n’est pas nécessaire de se focaliser sur des toutes petites personnes, des Bill Gates ou autre. Le pouvoir, c’est vous, en réalité, encore faut-il le savoir.

Lutter contre les agents zélés, qui vous empêchent de le savoir, voilà une des clés du déconditionnement des masses.

Cette lutte, même si elle se personnalise forcément sur ses relais humains, est avant tout une lutte contre des illusions, des croyances collectives, qui nous soumettent, nous humilient et nous font passer pour ce que nous ne sommes pas en réalité.

Redevenons qui nous sommes, empêchons ceux qui consciemment ou inconsciemment, n’ont de cesse de nous convaincre de leurs illusions, auxquelles ils veulent nous obliger.

Stoppons le complotisme, une bonne fois pour toutes !

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Stoppons le complotisme, la méfiance envers les vaccins, une bonne fois pour toutes !

Recueillons le nom de tous les journalistes, éditorialistes, ayant rédigés des articles pro-vaccins, sur France Inter, Le Monde et d’autres médias mainstream, en ajoutant les rédac-chef et patrons, responsables des publications de ces dits, médias, et, si besoin, allons leur demander poliment de bien vouloir appliquer à eux-mêmes, ce qu’ils recommandent pour les autres.

Vérifions que toutes ces personnes de bonnes intentions, se vaccinent en priorité sur tous les autres (« tous ces autres » que ces portes voix mainstream semblent vouloir voir se faire vacciner contre le covid)

Je ne suis pas pour l’obligation vaccinale, alors, pas d’obligation, une évidence.

Naturellement, la prise effective du vaccin « officiel », serai vérifié, en tel cas, par huissiers et « vérificateurs indépendants » (soumis à des vérifications détallées de leurs conflits d’intérêts potentiels).

Cela va de soi, il conviendrai, si adhésion à cette idée, d’effectuer ce processus avec toutes les personnes, faisant fonction d’autorité publique, qui vanteraient les mérites de ces futurs « vaccins » et également avec l’ensemble des cadres des industries pharmaceutiques concernées, ainsi que des laboratoires vaccinant (pas de laborantin qui injecte le vaccin, qui n’aurait pas été lui même vacciné au préalable).

Lorsque nous aurons vu tout ce petit monde, se faire vacciner avec ce qu’ils recommandent pour nous, il conviendra d’attendre quelques mois, ou quelques années, afin d’être en mesure de vérifier si l’état de santé de ces personnes ne se dégrade pas en raison des effets secondaires, ou même primaires du dit « vaccin ».

Je n’ai rien contre les pro-vaccins, ni contre les anti vaccin, chacun peut se faire son idée sur l’utilité vaccinale concernant le Covid.

Si les pro vaccins croient vraiment aux idées vaccinales qu’ils diffusent, cela ne devrait pas poser de problème de vérifier que ces personnes se vaccinent en premier.

Cela arguerait en leur sens, en prouvant par leur action concrète sur eux-mêmes, que ces personnes sont réellement convaincues des bénéfices du vaccin covid.

Cela atténuerait également les méfiances de certains, quant-à la probité de nos diffuseurs publics d’informations sanitaires, gouvernants, et acteurs à diverses échelles de « Bigpharma », en montrant à quel point ces personnes sont prêtes à prendre des risques pour elles-mêmes, avant de prôner l’obligation d’en faire prendre aux autres.   

Vous me direz que j’encourage le fichage, au final !

https://www.urbanwakan.com/fr/uwk-webzine/bill-gates-reclame-un-certificat-numerique-pour-identifier-les-personnes-vaccinees-contre-le-covid-19-216?fbclid=IwAR0sp7HFQa6OoPbRRhsO5s52txW5q5kkc98fptcTs26cMVIb5daHhGj4_Pc

Dans l’article ci-dessus : « « des certificats numériques » seront utilisés pour identifier qui a reçu le prochain vaccin contre le COVID-19. Et ces certificats seront également utilisés pour identifier qui peut mener, ou non, ses activités.  » .

Sachant que l’ami Bill Gates à sa petite influence, il montre la voie vers le traçage de tous.

Ce n’est pas ce que je voudrais, n’étant pas un fan du totalitarisme sanitaire qui semble être prôné sur France Inter (en référence aux articles publiées par cette magnifique radio d’opinion).

Je ne fais que marquer une sorte de volonté de renversement sémantique, consistant à encourager à ce que des comptes soient réclamés, à ceux qui en réclament pour les autres (France Inter et autres perroquets du mainstream).

Ces derniers qui revendiquent avec vigueur fichage et sécurité pour tous, dès qu’on les fais flipper pour des maladies, ou du terrorisme, devraient montrer l’exemple et se faire eux même ficher en avant première, histoire que les autres voient ce que ça fait et puissent réfléchir avec du recul, sur le fait qu’ils souhaitent la même chose pour eux même, ou non, ensuite. .

https://lepetitcollaborateur.fr/2020/11/15/tracage-regles-sanitaires-plus-strictes-quen-pense-le-journal-le-monde/

Covid19 : Liberté d’expression et responsabilité sur autrui.

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Covid 19, une histoire de croyance ?

Cette fausse pandémie nous aura au moins appris une chose. Les médias mainstream peuvent vous raconter ce qu’ils veulent, vous y croirez. Vous êtes des croyants. Cela vous permettra peut-être de mieux comprendre comment sont heurté d’autres croyants, lorsqu’on caricature leur prophète …

Je suis pour la liberté d’expression, même celle qui caricature des prophètes, je n’ai pas d’ambition d’interdire quoi que ce soit en la matière…

Cependant, j’imagine vos têtes, si on caricature vos prophètes à vous. Ceci me donne encore plus goût à la liberté d’expression.

Voyez les enseignants, ces grands croyants devant l’éternel de la religion « démocratique républicaine. » Ils diront quoi si on caricature un de leur prophète, le martyr Samuel Paty ?

Ils seront pour la liberté d’expression, pour la libre caricature à ce moment-là ?

Il n’y aurait pas un fanatique religieux enseignants pour venir buter l’auteur du dessin ?

Ou, je dessine très mal (au départ, je voulais imiter la caricature du Mahomet à genou avec une étoile dans le cul, diffusée par l’enseignant décapité, mais dessiner avec la souris, c’est chaud…Je suis vraiment pas caricaturiste !) C’est juste un exemple de ce qu’on pourrait faire comme caricature du martyr Samuel Paty. J’ajoute que je ne tiens nullement à inciter à la haine et que je ne cautionne aucune décapitation quelle qu’elle soit. C’est une caricature, donc elle se moque et peu aussi se moquer des morts, mêmes violentes et injustifiables. N’est-ce pas ça, la liberté d’expression accordée à ceux qui se moques du prophète d’autres croyances que les leurs ?

C’est souvent un des problèmes des croyants, leurs croyances les aveuglent à tout autre point de vue.

C’est aussi pour cela qu’ils ne peuvent supporter qu’un film comme Hold Up existe, ou même les « complotistes » en règle général…

Quelques articles sur le sujet :

La censure sur les réseaux sociaux et la bataille de l’opinion.

Je constate de la censure à tout va sur les réseaux sociaux, mais je constate également que les principaux censeurs, n’ont de cesse de vouloir revenir au sujet de leur censure…Comme s’ils n’arrivaient pas bien à avaler le fait que certains les classent dans le rôle de censeur, qu’ils n’assument pas être.

Le « Pass Covid », rappel des sombres heures du passé.

Souvenons-nous des parcs et jardins interdits aux chiens et aux juifs, souvenons nous des toilettes interdites aux nègres…Et rappelons nous qu’aujourd’hui, ce qui nous est proposé et qui est suivi si promptement par nos amis collaborationnistes, est ni plus ni moins d’interdire certains endroits publics, de plus en plus avec le temps j’imagine, aux personnes…

Aux adeptes de la secte religieuse du Covid tout puissant :

Il me semble toutefois dommageable que leurs croyances covidiennes, qui ne devraient concerner qu’eux, obligent et contraignent tellement les autres…J’ai parfois l’impression de subir un genre de république islamique, sauf qu’il s’agit d’une autre religion que l’islam qui règne. Il s’agit néanmoins, d’une religion avec ses dogmes, ses missionnaires, ses inquisiteurs. Une religion avec ses…

Oui , parce que contrairement à beaucoup de croyants en d’autres religion, le croyant aux dogmes « démocrates républicains » (un jolie nom pour désigner, le « totalitarisme néolibéral »), croient dure comme fer que leurs croyances ne sont en rien religieuses, irrationnelles, mais bien « scientifiques » (on comprendra la dedans, les « sciences humaines »).

Les croyances et leurs conséquences :

Le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a été interrogé sur le fait que les membres du gouvernement ne se fassent pas vacciner en premier, ne serait-ce que pour donner l’exemple, alors que la méfiance reste importante en France à l’égard du vaccin.

Source: https://bit.ly/37u5ADC

Dites bonjour à Gabriel !

Les membres du gouvernement refusent de se vacciner les premiers. Les dirigeants de Big Pharma jouent à la bourse et vendent leurs actions à la veille d’annonces de sorties de vaccin, se faisant quelques millions de dollars au passage…On vous explique que les industries pharmaceutiques qui vendent les vaccins aux états, ne seront pas responsables juridiquement des potentiels effets secondaires des vaccins, mais que ça sera l’état, donc vous indirectement, qui serez responsables.

Vous ne vous étonnez donc pas que la recherche sur les effets secondaires des vaccins soit si peu poussée ?


Vous ne voyez donc rien venir ?


Je dis juste ceci, concernant les personnes adultes et jugées comme « responsables de leurs actes » (donc pas les enfants et les personnes vulnérables, comme certaines personnes âgées, ou malades) : :


Si vous vous faites vacciner, vous méritez votre vaccin…Mais pas vos enfants et les gens sur lequel vous êtes juridiquement responsables. Je pense que, dans la mesure de toutes les preuves de la dangerosité de ce vaccin disponible partout, même sur le mainstream, si vous faites vacciner quand même vos gosses, ou d’autres personnes vulnérables sous votre responsabilité juridique, cette responsabilité qui vous est accordée est clairement à remettre en question.

Je sépare ce problème du fait que vous voulez user de ce vaccin pour vous même, ce qui est votre droit. Ce n’est pas aux autres de vous empêcher de vous suicider. C’est pour cela que je recommande à ce type de personne, comme au personnel politique recommandant le vaccin Covid, de vous faire vacciner avant d’en obliger ceux qu’il vous est permis juridiquement d’obliger.

Piquez-vous, attendez un an ou deux. Un petit recul quoi…

Du recul, vous ne connaissez pas ? Le principe de précaution non-plus ?

La seule précautions que vous connaissez sera-t-elle de suivre au pied et à la lettre tout ce qu’on vous dit de faire ?

Pourvu que ça soit dit sur le mainstream ?

Même si vos maîtres vous en prive de plus en plus, faisant de vous officiellement, les enfants que vous êtes dans vos têtes, vous avez encore certaines responsabilités résiduelles, comme celles de prendre des décisions pour d’autres, ces personnes sous vos responsabilités directes.

C’est un sacré poids, qu’il convient de mesurer, surtout lorsqu’on a à prendre pour eux une décision grave, qui est appelée à être suivie de certaines conséquences, notamment sur leur santé.

Les perroquets du mainstream

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Intéressons-nous à la connivence et aux liens d’intérêts entre nombres des acteurs économiques qui sont intéressés financièrement, économiquement et politiquement, par tout ce qui se passe autour du Covid depuis presque un an.


Ne pas dire que tout ceci est du hasard, que ces liens ne sont que les conséquences de rapports économiques complexes serait certainement perçu comme du complotisme.

Est-ce une raison de s’empêcher d’avoir, au moins, quelques doutes sur le sujet ?

Se poser des questions quant-au fait que tout ceci, relie des intérêts de hautes sphères entre-eux, et profite à chacun suivant un cheminement logique, susceptible d’avoir été concerté, voir concerté de longue date à la vue de l’internationalisation de cette logique supposée, ne semble pas pouvoir se faire sereinement sans susciter l’émoi des chiens de garde mainstream et de leurs perroquets.


Parlons-en de ces perroquets...

Que font-ils dans la vie, ou de leur vie ?Je veux dire en cette interrogation, que font-ils de concret aujourd’hui, concrètement différemment de ce qu’ils faisaient avant la mode du Covid ? (mis à part être les chiens de garde du mainstream sur les réseaux sociaux, parce que, la plupart du temps, leur fonction de perroquets à débuté bien avant le Covid).


Et bien, ils masquent leurs gosses, suivent religieusement toutes les règles liberticides qu’on leur impose, et souvent, les cautionnent, voire les défendent, les faisant passer du statut de collabos, à celui de collaborationnistes. Ces perroquets sont les Kapos de terrain de tout ce système de conditionnement à nos esclavages à tous. Ils n’ont de cesse de vouloir imposer leur morale aux autres, tels des missionnaires religieux, chargés de récupérer les brebis égarées des saintes croyances.


Nos amis perroquets, bien prompts à répéter la doxa du pouvoir en place à qui peut l’entendre, représenteraient des sortes d’agents de liaison entre vous et les grands coordinateurs néolibéraux de ce monde.

Ces derniers, une fois leur stratégie globale élaborée, passeraient leurs consignes de gouvernance aux grandes sociétés qui sont leur bras économique.

Ces dernières dicteraient alors leurs préconisations aux grands gouvernements qui sont leur bras armé.

Ces derniers engageraient en conséquence, leurs bonnes recommandations et suggestions au mainstream par le biai de l’AFP (Agence France Presse, pour la France), diffusant conditionnements culturels et propagandes…

Et c’est là qu’interviennent les perroquets, qui seront le relai zélé de cette propagande, de ces diffusions massives de conditionnements sociaux et culturels d’un ordre social et économique établit pour le bien de ceux qui l’édictent, le relaient et le diffusent.


Ces perroquets joueront leur rôle de Kapo, méthodiquement, sans souvent, même la plupart du temps, s’en rendre compte. Il se sentiront citoyens éclairés, faisant partie de cette minorité braillarde ayant le sentiment d’être assez à l’aise dans ce système, pour s’en sentir l’âme d’un défenseur, ou pour s’avérer dans l’incapacité spirituelle de le remettre en cause.

https://lepetitcollaborateur.fr/2020/10/10/majorite-silencieuse-ou-minorite-braillarde/


Ainsi, le pouvoir répète au mainstream, qui répète aux perroquets, qui répètent aux moutons, qui sont parfois également des gros boeufs, voire des veaux, mais certaines fois également, de gros porcs, ou de grosses truies. N’oublions pas dans cette petite liste de gentils mammifères obéissants, quelques blaireaux sortis du bois, sachant écouter les séduisants serpents leur indiquant quand il sera le juste moment, pour croquer la pomme de l’ignominie.
Tous chanteront en cœur, la peur du loup qui les croquera s’ils sortent de leurs enclos, paradigmes de pensées adéquates, à les maintenir sous le joug de ceux qui les cultivent comme de pauvres pommes, ou des grosses poires.


Aujourd’hui, le loup est le Covid, le terrorisme, le Covid et le terrorisme. Leurs enclos sont le protocole sanitaire, le plan Vigipirate, les contrôles de la police, de la censure médiatique, de l’auto-censure entre personnes et surtout, ô surtout, leurs croyances que le pouvoir propage, auxquelles il s’est donné beaucoup de peine à conditionner les gens dans leurs vies toutes entières.


Désenchantement du monde vous dites ?

Évolution des axes de domination culturels, je réponds.


Le petit Jésus a été changé en état nation, le royaume de dieu en république laïque, les messes, en élections..Les inquisiteurs en presse mainstream…Les hérétiques en complotistes…Les tables de la loi, en « consensus scientifique »… »consensus social », « consensus culturel »…


C’est la liberté d’expression, vous disent-ils. C’est la démocratie…Les voilà, les nouvelles rivières enchantées, cornes d’abondances illusoires qui ne voient leurs espoirs de quelques miettes grapillées de ci de là, seulement par le contentement de quelques consommations de masse, de sustentations à des besoins créés de toute pièce pour occuper les esprit, et exploiter un peu plus au passage.


Le dogme vous dit ce à quoi vous adhérez, ce à quoi vous devez vous occuper, ce que vous ferez de votre temps libre résiduel lorsque vous ne serez pas occupé à vous assujettir à la « valeur travail ». Le dogme vous invente vos espoirs, vos envies, vos loups, vos angoisses et vous, vous vivez la vie dont ils veulent que vous soyez dignes…


A part ça, comment vous sentez-vous, au-delà du fascisme de votre mental bien facile à duper ?

Comment vous sentez-vous au plus profond de vos êtres ?


Bien qu’au milieu des dogmes, le questionnement ne semble pas à la mode, je vous invite tout de même à vous poser la question.

A vous poser des questions, à vous poser vos questions et à arrêter de penser avec la tête d’un autre.

Le perroquet répète, nous l’entendons bien..Mais pense t-il ?

Lutte des classes !

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La classe bourgeoise est l’ennemi des classes populaire.

Elle compose entièrement la classe politique, qui est l’ennemi des classes populaires.

Elle compose entièrement la classe médiatique, qui informe de fausses réalités orientées en fonction des arrangements du pouvoir bourgeois et est l’ennemi des classes populaires.

Elle compose quasi-entièrement la classe enseignante, ennemi des classes populaires et bras armé éducatif pour que les masses adhèrent à la culture de la soumission au pouvoir bourgeois.

Elle endoctrine complètement la classe sécuritaire (policier et gendarmes) qui est le bras armé du pouvoir bourgeois, ennemi des classes populaires. Tous ces groupes de population œuvrent ensemble, de manière coordonner à soumettre, exploiter et humilier les classes populaires.

Les classes populaires sont diverses, mais subissent ensemble, un ordre économique, social et culturel dans lequel elles sont la chair à canon, l’extracteur de richesses, le charbon pour les chaudières de la croissance qui ne profite qu’à leurs exploiteurs.


La prise de conscience des classes populaires de leur unité dans leur oppression est nécessaire.
Les classes populaires sont le nombre, les classes populaire sont la force, les classes populaires sont celles qui font l’économie réelle. Sans classes populaires, pas de croissance, pas de profits pour les actionnaires. Sans les classes populaires, ces assistés de bourgeois devraient se débrouiller seul sans larbins pour leur lustrer leur mode de vie irréel au regard du mode de vie imposé à tout ce qui n’est pas eux.


Les classes populaires ont le pouvoir réel de s’auto déterminer en fonction de leurs intérêts communs et non comme aujourd’hui, de suivre leurs conditionnements malveillants en fonction du conservatisme social de la classe bourgeoise.


Il est nécessaire que les classes populaires prennent conscience des réalités au delà de ce que les discours médiatiques leur racontent comme histoires. Du Covid, du terrorisme, de faux débats, du divertissement pour les endormir, de l’endoctrinement à la culture commerçante, à la culture de leur propre domination.


De la prise de conscience, naîtra le sentiment d’injustice et d’absurdité de végéter dans un tel système. De se sentiment de rejet, naître la révolte et de cette révolte naîtra la fondation d’un nouveau système, que j’espère plus équilibré que le précédent, que j’espère ne pas voir tomber dans les mains exclusives d’un petit groupe social, bourgeoisie ou non.


Tout ce processus me paraît inéluctable, il convient de s’y préparer, pour oeuvrer au mieux, afin qu’il se passe dans les meilleures conditions possibles et que le résultat qui en découle soit le meilleur possible.

Réflexion sur une révolution nécessaire

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(Texte issu d’une conversation sur un réseau social)

Qu’est ce qu’il vous faut encore de plus pour commencer à vous réveiller ? Pour comprendre que vous êtes manipulés ? 


A la minorité braillarde des petits bourgeois, relais zélés des matraquages médiatiques du mainstream et soutien invétérés du régime néolibéral ? Je pense qu’il leur en faudra toujours un peu plus, le fascisme leur va comme un gant #leskaposdelarepublique…pourvu qu’ils continuent à jouir de leurs médiocres privilèges sur le dos de ceux qu’ils s’arrangent bien à ne pas voir. Aux autres ? Ceux qui n’ont aucun intérêt à ce que ce système qui les exploite, les rabaisse et les humilie perdure ? Je pense que plus le pouvoir bourgeois se sent tout puissant et mènera sa politique de fascisme décomplexé, plus ils ne se sentiront mal à l’aise dans le rôle des dindons de la farce. Sérieusement, confinés sauf pour aller bosser ? L’étape d’après ça sera quoi ? Qu’ils se réjouissent d’avoir encore le droit de rentrer chez eux, pour qu’ensuite on les parque dans des dortoirs pour qu’ils ne vivent plus qu’au travail ?   Tout ça, c’est de la prise de conscience de son rôle social en barre ! Et après la prise de conscience, il y a quoi ? (A Camus dans l’homme révolté » à une petite idée sur la question) Le pouvoir bourgeois à trop duré, ses dirigeants sont trop déconnectés des réalités sociales pour prendre des décisions qui ne leur nuiront pas à terme. Ca sent très fort la fin de régime et je m’en réjouis. Tout vaut mieux que ça.

oui mais pour faire quoi ? 


Certains diront que simplement crier révolution n’amène rien … si …au pire , les extrêmes . La plupart des révolutions ont malheureusement abouti à des dictatures. Il ne suffit pas de crier mais il faut aussi voir ce qui peut nous attendre derrière . Il y a de nombreux dirigeants dans le monde , sont ils tous de la même graine ? Quel est le régime aujourd’hui qui fonctionne ?


Je répondrai à ces questions par une autre : Est-il mieux de rien faire et de laisser le pouvoir bourgeois terminer son spectacle et préparer le suivant ? 
 Les extrêmes que l’on nous agite en cas de velléité de changement de régime, ne sont-ils pas déjà présent ? Que voulez vous de plus, des fers au pieds ? Un changement est toujours un risque, mais le non-changement, dans le cas présent, n’est-il pas un risque certain, une inconscience, une irresponsabilité vis à vis du présent et du futur ? 
Tous les dirigeants sont-ils de la même graine ? 
La plupart, hélas. Ce sont des gens avides de pouvoir, l’ayant recherché et s’en étant fait un objectif de vie, de carrière. Très peu aujourd’hui, me semblent avoir un sens aigu du collectif, de leur service du à leurs administrés et non l’inverse. 


Crier révolution est déjà une bonne chose, cela vient d’une prise de conscience nécessaire et de plus en plus collective, majoritaire. Quand à mes idées, pour autre chose de mieux, un autre type de gouvernance pour mieux vivre en collectivité, de nouvelles personnes à la coordination et un nouveau contrat social avec de réels garde fous pour le faire respecter…J’ai tout un programme…Mais comme je ne veux pas finir comme Coupat, Assange ou autres êtres pensant avant l’heure, je m’abstiendrai d’en détailler les termes chez ce cher Marc Z. Ce blog en détaillera certains termes dans différents articles Je vous propose à ceux qui se considèrent comme des citoyens, et même aux autres, de réfléchir de votre côté, vous aurez certainement tout un tas d’idées au moins aussi intéressantes que les miennes. Par la même, je nous propose tous de cesser de pratiquer la croyance religieuse en l’inéluctabilité d’un pouvoir bourgeois qui nous prouve chaque jour son incompétence et sa malveillance envers tout ce qui n’est pas lui…Même avec ses perroquets zélés qui pullulent sur les réseaux sociaux, ce système est malveillant. En cas de houle, ils seront tous foutu au bord du précipice…Montrés comme les bouc émissaires des tenants des ficelles, qui se planqueront derrière leurs marionnettes, comme à chaque fois en fin de régime…. 

Ne rien faire ne me semble donc pas une option valable si l’on veut que les choses changent, car je ne pense pas que le pouvoir bourgeois désaxe sa route de lui même, ou que les choses revirement de manière naturelle.  Le fait unique de crier révolution n’amène rien en soi. même avoir de bonnes idées , ne gagera pas qu’elles soient partagées par tous.  Il semblerait être dans la nature humaine d aimer la contradiction et la confrontation. Il faudra certainement convaincre pour que des idées neuves  au sujet de l’organisation collective soient prises en compte.

  
D’abord crier révolution, ensuite la faire. Je ne puis quantifier qui pourrait avoir les mêmes idées, et je suis certains que mes opinions politiques ne sont pas majoritaires et ne convaincront jamais une majorité. Ce n’est pas une révolution pour imposer des opinions politiques qu’il faut faire, mais une révolution instituant un régime politique objectif, avec des droits, des devoirs, une citoyenneté réelle et matérielle. Un régime politique de ce type, devra être concerté avec tous, par le biais de doléance, constituantes, réunion locales et représentants de ces entités locales à la subdivision locale supérieure…Ceci devra être fait avec des personnes, tout le monde, aux opinions politiques et idées sur le bien vivre ensemble différentes…des communistes, des libéraux, des fachos, des condescendants, des cons, des intelligents, des connards, des gens vertueux. Ils composent tous notre monde et plutôt que de les exclure, il conviendrait de leur montrer l’exemple de ce que peut être une société plus équilibrée et bienveillante.

Les institutions devront être élaborées avec l’accord de tous, ou d’une très forte majorités de tous. (les bourgeois ne seront, en grande partie, jamais d’accord, trop intéressé par le système actuel, ou ayant la conviction forete de l’être). Tout ceci est très réaliste, réalisable, sur le principe . Les institutions ne doivent pas être politiques, elles doivent être le socle avec lequel on fait de la politique. Je serai ravi de tenter de convaincre du bien fondé de mes idées, au sein d’un système institué honnête. Nous sommes loin d’y être actuellement. Il faut, donc, dans un premier temps, instituer un tel système, former les citoyens à son fonctionnement, à leurs droits, leurs libertés, du contrat social qu’ils signent et qui implique des contre parties pour que ça fonctionne, des efforts, des participations. Aujourd’hui, le pouvoir fait tout pour éloigner les citoyens de leur citoyenneté perdue il y a bien longtemps (si elle a déjà existé…). Les gens seraient ravi, s’ils comprenaient leur intérêt dans le mieux vivre en collectivité, d’y participer, de s’y engager. Aujourd’hui, nous vivons dans une société de bourgeois, faite par les bourgeois, pour les bourgeois. Le but de ses institutions sont le conservatisme social, le contrôle de la population par une minorité. Bien que l’après « crier révolution », soit effectivement plus constructif, ce n’est qu’une continuité de la construction démarrant par le « crier révolution ». je ne veux pas culpabiliser les gens qui crient révolution sans avoir écrit de bouquin sur la question. Les Gilets Jaunes ont démontré qu’il fallait peu de temps à une personne éloignée de sa citoyenneté, pour se la réapproprier et pour avoir des raisonnements politiques très intéressants.  

En ces temps de fascisme ambiant, pesant, oppressif, il est temps d’œuvrer à ce que tout cela change. 

Majorité silencieuse ou minorité braillarde ?

À la Une

Des hordes de gens haineux, des hordes de complotistes, des hordes de barbares en tout genre…
En voilà des idées qui passent par delà réseaux et comptoirs du commerce, que l’on entend et qu’on légifère comme sortant du paradigme des dogmes imposés à la populace. 


La majorité silencieuse, celle qui s’identifie visiblement comme telle, s’inquiète de tout ceci, mais s’inquiète bruyamment. 

Étalage de peurs diverses sur fond de publicité normative, le bruit des bottes anonymes sait se faire entendre pour qui dit ne pas faire de bruit. Bien ancré dans un monde où il lui convient de ne pas trop réfléchir, ne reflétant que très peu la lumière qui passe, cette majorité silencieuse auto-proclamée s’exprime et prime sur tout autre idée que les siennes. 


Mais revenons sur la définition identitaire de ce groupe de population…


Majorité pourquoi ? 


Parce qu’elle fait beaucoup de bruit ? 


Parce qu’elle est à l’aise pour exprimer l’opinion qui ne fera jamais objet de censure de la coercition officielle  ?


Parcequ’elle se sent légitimé par la puissance économique, politique, sociale et culturelle dont elle diffuse les dogmes ? 


La majorité n’est-elle pas une valeur, un nombre ? Et combien sont-ils finalement ? Combien ont soutenu activement le système en place…Parce que, ne nous leurrons pas, nous parlons bien d’un soutien actif au régime, en parlant des gens évoqués ici. 


Combien sont-ils à avoir activement voté pour le régime en place ? 20% de la population inscrite sur les listes électorales, qui représente 87% des gens en capacité de voter ? Ca fait quoi, même pas 15% de la population, dont une bonne partie doit regretter son choix aujourd’hui ? On dira 10% de soutien global des majeurs, français, nourris, logés, blanchis et vaccinés au pays de Molière, est-ce une majorité ? 


Ce sont pourtant eux quasi seuls qu’on voit, sur le mainstream, mais aussi, malgré ce que eux en disent, sur les réseaux. Eux, ce sont ceux qui n’hésitent pas à venir commenter sur vos pages, lorsque vous osez publier sur la votre, des communications un peu trop hérétiques, complotistes à leur goût.

Eux, ce sont ceux qui n’ont de cesse de vouloir semer la bonne parole chez les autres, des témoins de jéhovah du système, des missionnaire irréfléchis du néolibéralisme.

Eux, ce sont les vichystes, les collaborationnistes, les agents infiltrés inconscients. Eux, ce sont les auto-conditionnés, ayant fait trois fois le tour de la matrice jusqu’à l’aimer, la chérir et la défendre coute que coute.

Eux, sont presque impossible à sauver, au contraire de ceux qu’ils n’ont de cesse de vouloir influencer vers un chemin de vie qui ne me semble pas être le leur. 


Doit-on les laisser s’auto-discréditer ? Doit-on les combattre ? Chacun fera ce qui lui semble être le meilleur. 


L’animal acculé est toujours plus agressif. Nous touchons à la fin d’un régime qui se défend logiquement, de manière plus véhémente. Les perroquets du système suivent naturellement. 


Non, cette majorité silencieuse auto-proclamée n’est pas non plus silencieuse, elle est brayarde. Elle s’étale, vocifère et fait pulluler ses discours tantôt crétins, tantôt abjectes. 


La majorité silencieuse auto-proclamée, est en réalité, la minorité braillarde. 
Elle s’exprime sans contrainte au pays du fascisme et tant qu’on évoluera dans ce contexte, elle n’hésitera jamais à continuer à se faire entendre. 

Lorsque les temps changeront, ils retourneront leur veste, comme de bien entendu, puisque attirés par le côté rassurant et sécurisant du pouvoir, comme des mouches à merde. Ils deviendront résistants dès 1946 et s’auto-proclameront ayatollah du régime qui suivra. C’est ainsi et il nous faudra, quoi qu’il en soi, vivre avec eux. 


En revanche, il convient de remettre les choses à leur place.

Les minorités, ne sont pas les majorités, les braillards ne sont pas silencieux. Une fois l’église remis au milieu du village, il est plus aisé de la distinguer comme telle. 

Décharges

À la Une

Les décharges se déchargent de toute responsabilité immédiate. 
Les décharges éloignent toute proximité entre les fauteurs de troubles et les troubles engagés, évitant au maximum, tout retour de bâton potentiel de la part de ceux qui sauront ne pas distinguer le bout du manche. 


L’irresponsable s’inscrit en modèle, l’irresponsabilité en culte, pour qui sait se situer là où la vie d’irresponsable permanent est possible… Ceux qui savent se situer, ou plutôt, ceux qui sont, puisque ces irresponsabilités s’héritent, bien plus qu’elles ne se gagnent. 

On ne mérite pas la rente sociale, ce privilège est inné, de droit divin. Les incompétences et les incapacités ne se travaillent pas, elles se vivent, de la naissance à la mort, fermant les esprits étroits, jusqu’à ce que l’espace qui se restreint fini d’éteindre la lumière. 


Les classes sociales immobiles, les privilégiés de siècles en siècles, les vies entières à s’y habituer de toute part, pourrissent la vie des gens ensemble, ainsi que des gens séparés dans leurs propres ensembles. Chacun engraisse et rouille, sa crasse se grippe et personne ne se voit plus. 

Ils déblatèrent, vocifèrent et agissent par coutume, habitudes, processions, sans ne plus se soucier de ce qui découle de ce qu’ils font. Au bout de la chaîne, ceux qui subissent ces décisions, qui ne se demande même plus d’où peuvent bien provenir, les raisons de ce à quoi ils se sont adaptés, modulés, confondus, fusionnés. 


Entre chaque extrémité des biens et mal nés sociaux, des nuages de fumée, des illusions d’éloignement, des aveuglements collectifs, composés de petites règles d’immunité, pour qu’aucun de ses auteurs en hauteur ne subisse, les cruautés émises.

Dignes de quoi ?

À la Une

L’important, c’est de rester digne.
Je ne dis pas que d’aller faire la guerre suivant le dictat des pouvoirs divers est plus intelligent……

Mais bon…


Il s’agit aussi de vous regarder un peu, surtout en ce moment. Si vous êtes dignes, c’est du totalitarisme que vous cautionnez.

Un totalitarisme rampant, vous croyez ?


Et non, aujourd’hui, c’est vous qui rampez, planqués derrière vos chaises de bureau, à vous rassurer les uns les autres à coup de slogans vois auto-situant en « démocratie », dans un « état de droit », en pensant que vous « protégez les autres », alors que vous cautionnez le fascisme.
Enlevez-vous toutes les histoires qu’on vous fait monter dans le cerveau, en ce moment, c’est le Covid, demain, ça sera autre chose.


Allez au delà des illusions qu’on vous met dans le pif et observez plutôt les résultats que VOTRE attitude provoque, les dégâts qui sont de VOTRE responsabilité.
Au final, vous êtes en train de détruire vous-même le pseudo modèle de société que vous croyez cautionnez.


Le pouvoir n’est rien sans vous, le pouvoir c’est vous.


Au temps des guerres, comme en ce moment, c’est bien vous qui donnez votre pouvoir, au pouvoir qui n’est plus vous, mais qui continue à agir par vous.


Reprenez possession de vous mêmes, il est temps !

Prudence et délation

À la Une

Dans la jungle des supermarchés de zone périurbaine, le tout venant se croise, se toise et s’apprécie comme il convient. 


Les petites gens se scrutent et observent, qui observe comme il faut, les règles sanitaires les plus élémentaires, celles qu’on nous assène, tintamarre, dont on nous rebat nos oreilles d’ânes bâtés. 
Parfois ils conviennent convenus que tout va bien, parfois ils s’arrêtent sur la brèche représentée par le relâchement coupable de celui qui laisse passer la maladie de l’affichage facial intégral, triste habitude abandonnée, que l’on ne voudrait pas voir reprendre racine impunément. 

Ils chuchotent, les gens de rien, les sans dents. Ils ont repéré le pot aux roses de la déraison irraisonnée, de l’imprudence irresponsable. Ils ont peur pour eux, peur pour nous, peur de ne pas être de bons citoyens en laissant faire l’ignominie. 


La peur fait parfois manquer de courage, mais pas de pragmatisme. Nos citoyens apeurés confient au plus vite leur effroi au tenancier local, lié par l’amende forfaitaire qu’il risque en cas de débauche interne à son établissement, si les gardes chiourmes venaient constater l’horreur de la scène. 

Tiraillé entre le client roi qui se dépense en son sein et la volonté de paraître une enseigne de confiance à la majorité silencieuse qui lui chuchote à l’oreille, le tenancier averti et si l’avertissement n’y change rien, le tenancier expulse…Et si ça ne fonctionne pas, le tenancier chuchotera à l’oreille d’un plus puissant cheval, qui viendra à son tour faire respecter le bon ordre des choses. 


Respectons les coutumes et la culture du lieu. L’italien parle avec les mains, le russe boit de la vodka, le chinois chie de la ficelle, l’africain mange ses voisins…Et le français dénonce. En cette belle nation de la délation, du vin et du fromage, quoi de plus naturel que le vol des petits corbeaux, le chuchotement des buses et autres faucon crécerelles.

Ainsi va la vie, ainsi va la nature. N’ayez pas peur d’être vous même, surtout dans la peur, votre nature profonde vous sauvera !