Non ! Ne tuons pas Bill Gates !

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Aujourd’hui, des personnes m’ont relaté leurs inquiétudes sur la montée du fascisme actuel. 


« Je ne sais pas où on va, mais on y va ! » M’ont-elles indiqué, pleines d’incertitudes sur une situation politique et sociale qu’elles ressentent empirer. 


« Que faire ? Comment faire ? Faut-il tuer Bill Gates ? » 

Coucou Billou !


Je réponds évidemment que non. Tuer une malfaisance, n’est que créer une malfaisance supplémentaire. Et est-ce vraiment Bill Gates, le responsable de la situation actuelle, de la dictature sanitaire, des restrictions des droits et libertés fondamentales ?


Bill Gates, tout seul, avec ses petits bras, à part enfiler des pull roses moches en cachemire, il ne fait grand chose. Ce qu’il conviendrait plutôt de « tuer », c’est le phénomène qui résulte au fait que cette toute petite personne avec ses petits bras et ses pulls en cachemire, puisse décider de tant de choses avec toute la malveillance qui la caractérise. 

C’est à cela qu’il faut réfléchir. Comment, qui, pourquoi, une petite personne, ou un ensemble peu nombreux de toutes petites personnes, toutes organisées qu’elles puissent être, ont ce pouvoir sur nous, de nous dicter nos vies ? Qu’est-ce qui légitime cela ? Qui légitime cela ? 


Au bout de la chaîne de légitimations de pouvoir, c’est bien nous, le peuple, la masse, qui écoutons et obéissons à ces toutes petites personnes, qui face à nous, agitant leurs petits bras, nous paraissent bien ridicules. 

Il convient alors de se poser une autre question :

D’où vient ce pouvoir grossissant, cette illusion projetée à nos yeux, qui nous convainc que ces toutes petites personnes ont ce pouvoir sur nous, que ce pouvoir est légitime, inéluctable et que notre devoir est d’y obéir ?

Comme pourrait le dire ce cher Laurent Alexandre dans son interprétation toute personne de l’ouvrage « les dieux et les inutiles », ces toutes petites personnes ont été érigées comme les dieux et nous sommes érigés dans cette petite histoire, ce conte pour enfant, ou adultes conditionnés à l’infantilisation citoyenne, comme les inutiles. Inutiles, pas si inutiles que ça, puisque c’est avec nos tout aussi petits bras (mais bien plus nombreux et donc d’une puissance colossale lorsqu’ils sont coordonnés dans un but commun) que ceux de Bill Gates, que nous faisons, ce que ces bien peu nombreux, décident que nous fassions. Pour faire suite à cette jolie histoire, qu’ils racontent lorsque c’est nous qui en fabriquons les livres et en tournons les pages, il paraîtrait qu’à force de travail acharné, les nombreux petits bras des masses populaires aient pu fabriquer assez de robots et d’intelligence artificielle, pour qu’il soit possible de se débarrasser de quelques-uns de ces inutiles, qui commencent à coûter plus qu’ils ne rapportent. Qui jettera le linge sale, à votre avis ? Bill Gates ? Non, ça sera bien vous, avec vos nombreux petits bras et vos toutes petites, de plus en plus petites têtes, qui vous en prendrez à d’autres petits bras avec des petites têtes, sous la bonne coordination de Bill gates et consorts…


Mais ce cher Bill, tout seul avec sa toute petite voix, serait bien incapable de vous dicter votre conduite. Il faut bien des intermédiaires à cela. Le mainstream (informations générales), les enseignants (conditionnements culturels), les médecins (conditionnement sanitaire), le conditionnement social et culturel…

Tout cela, ce sont les agents vecteurs des croyances des masses populaires, à avoir la foi sur l’inéluctabilité du pouvoir bourgeois sur elle. Au sein même de cette bourgeoisie de culture commerçante modelant la société à son image, une toute petite élite dicte les croyance à une sous bourgeoisie, qui elle, aura pour mission de semer sa parole d’autorité sociale et culturel, au tout venant social qu’elle côtoie, notamment au travail. Ce palier le plus bas de la bourgeoisie sociale, comprend pour les plus importants missionnaires auprès des basses classes d’entre eux, les enseignants et les médecins.


Pour contenir les élans potentiels de révolte, les forces de l’ordre sont en place, pour assurer la visibilité de la coercition légitime. 

La coercition légitime, légitime jusqu’à quand  ? Jusqu’à quel point ? Jusqu’à quelle privation de droits ou de libertés supplémentaires ? 


Jusqu’où, le pouvoir bourgeois repoussera t-il la limite de l’acceptation des classes populaires, de ses humiliations quotidiennes ? 

Dans la mesure ou l’on souhaite remettre tous ces états de fait sociaux et culturels en cause, ce qui s’accompagne naturellement d’une remise en cause du pouvoir politique et économique, tant dans sa pratique, que dans son organisation, il convient d’agir sur des leviers efficaces. 


Ce n’est pas pour rien qu’on appelle le pouvoir médiatique, le quatrième pouvoir, après les traditionnels pouvoirs exécutifs, législatifs et judiciaires. Concernant ces trois derniers pouvoir cité, il me semble que cela fait bien longtemps qu’ils ne font plus qu’un, que j’appellerai le pouvoir politique, qui par cette interprétation, paraît en rien démocratique (puisque pas de séparation des pouvoirs, le pouvoir médiatique, ne me semblant pas être plus séparé du reste). 


Internet, encore aujourd’hui incontrôlable (mais jusqu’à quand ?), a un certain intérêt en tant que contre pouvoir médiatique et culturel. Remettre le pouvoir social et culturel en cause revient à passer par le net. Cela reviendrait aussi à restituer les médias mainstream, pour ce qu’ils semblent être en réalité, des agents culturels du pouvoir en place. Leur rôle est la diffusion des conditionnements et croyances culturelles au peuple et au bas peuple. Ils informent et divertissent, au gré de ce qu’il convient pour le pouvoir en place, que les consommateurs de leurs sons et lumières pensent, des sujets auxquels il convient que ces consommateurs religieusement culturels réfléchissent, oublient, ou ne voient pas. 


Resituer les choses pour ce qu’elles sont, est un premier pas vers une prise de conscience nécessaire, amenant naturellement à ne pas vouloir végéter, dans un rôle de dindon de la farce social, exploité et manipulé au profit de si peu, si loin. Ces si peu, si loin, sont inatteignables et tant mieux, parce qu’en réalité, ils n’ont pas grande importance. Leur pouvoir n’est qu’illusion et c’est contre cette illusion qu’il est nécessaire de lutter.

Une fois cette illusion restituée en tant que telle, plus personne ne sera convaincu par elle. Plus personne n’y croira et il n’en découlera plus aucun pouvoir concret, de domination des uns sur les autres. 


Sans le pouvoir des illusions, des conditionnements longuement préparés, matraqués, coordonnés, banalisés, personne ne suivrait les Bill Gates, Rothschild, Rockefeller et leurs gouvernements marionnettes. En voyant les choses sans voile manipulatoire, il est très clair que tout ceci est une arnaque commerçante géante.  


Mettre à bas ses illusions regantes, voilà un combat effectif à mener. Il se mènera auprès des relais culturels mainstream, mais également auprès des relais culturels éducatifs et médicaux. 
Ces gens-là, les enseignants et les médecins, tout comme la plupart des journalistes,ne se rendent pas réellement compte de ce qu’ils font, de ce à quoi ils participent de manière tellement active, zélée. Au pays des collabos, ce sont les collaborationnistes, au même titre que tous ces perroquets du mainstream, qui par delà conversations de comptoirs (bien que la dictature sanitaire nous en ai privé), et commentaires sur les réseaux sociaux, assènent à tout ce qui déviait de la norme, leur discrédit et leur haine. 


Tout ces gens, les journalistes mainstream, les enseignants, les médecins, les flics, les perroquets du mainstream, ne sont surement pas à jeter…Peut-être ouvriront-ils les yeux un jour, même dans longtemps, même lorsque les paradigmes de pouvoir auront évolué et qu’ils deviendront résistant à partir de 1946…

Julien Dragoul, un chanteur de Music-hall, point à la ligne !



Je n’y crois guère, mais je suis peut-être trop défaitiste. 


Je ne pense pas, à la vue de l’état actuel du conditionnement de tous ces agents zélés du pouvoir bourgeois, qu’il convient de tenter de les convaincre. Je crois plus à la nécessité de les discréditer dans leur rôle, de les amener à se projeter dans leur rôle actuel, en cas de changement de paradigme de pouvoir. Malheureusement, j’ai bien l’impression que ces personnes y ont tellement été conditionnées, en profondeur, qu’elles n’agissent et ne réagissent plus que par la peur. Ce n’est pas du Covid, qu’elles ont besoin de se faire soigner, ou vacciner, mais bien de la peur qui les fait fonctionner en quasiment toute circonstance. 

Alors non, il n’est pas nécessaire de se focaliser sur des toutes petites personnes, des Bill Gates ou autre. Le pouvoir, c’est vous, en réalité, encore faut-il le savoir.

Lutter contre les agents zélés, qui vous empêchent de le savoir, voilà une des clés du déconditionnement des masses.

Cette lutte, même si elle se personnalise forcément sur ses relais humains, est avant tout une lutte contre des illusions, des croyances collectives, qui nous soumettent, nous humilient et nous font passer pour ce que nous ne sommes pas en réalité.

Redevenons qui nous sommes, empêchons ceux qui consciemment ou inconsciemment, n’ont de cesse de nous convaincre de leurs illusions, auxquelles ils veulent nous obliger.

Lutte des classes !

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La classe bourgeoise est l’ennemi des classes populaire.

Elle compose entièrement la classe politique, qui est l’ennemi des classes populaires.

Elle compose entièrement la classe médiatique, qui informe de fausses réalités orientées en fonction des arrangements du pouvoir bourgeois et est l’ennemi des classes populaires.

Elle compose quasi-entièrement la classe enseignante, ennemi des classes populaires et bras armé éducatif pour que les masses adhèrent à la culture de la soumission au pouvoir bourgeois.

Elle endoctrine complètement la classe sécuritaire (policier et gendarmes) qui est le bras armé du pouvoir bourgeois, ennemi des classes populaires. Tous ces groupes de population œuvrent ensemble, de manière coordonner à soumettre, exploiter et humilier les classes populaires.

Les classes populaires sont diverses, mais subissent ensemble, un ordre économique, social et culturel dans lequel elles sont la chair à canon, l’extracteur de richesses, le charbon pour les chaudières de la croissance qui ne profite qu’à leurs exploiteurs.


La prise de conscience des classes populaires de leur unité dans leur oppression est nécessaire.
Les classes populaires sont le nombre, les classes populaire sont la force, les classes populaires sont celles qui font l’économie réelle. Sans classes populaires, pas de croissance, pas de profits pour les actionnaires. Sans les classes populaires, ces assistés de bourgeois devraient se débrouiller seul sans larbins pour leur lustrer leur mode de vie irréel au regard du mode de vie imposé à tout ce qui n’est pas eux.


Les classes populaires ont le pouvoir réel de s’auto déterminer en fonction de leurs intérêts communs et non comme aujourd’hui, de suivre leurs conditionnements malveillants en fonction du conservatisme social de la classe bourgeoise.


Il est nécessaire que les classes populaires prennent conscience des réalités au delà de ce que les discours médiatiques leur racontent comme histoires. Du Covid, du terrorisme, de faux débats, du divertissement pour les endormir, de l’endoctrinement à la culture commerçante, à la culture de leur propre domination.


De la prise de conscience, naîtra le sentiment d’injustice et d’absurdité de végéter dans un tel système. De se sentiment de rejet, naître la révolte et de cette révolte naîtra la fondation d’un nouveau système, que j’espère plus équilibré que le précédent, que j’espère ne pas voir tomber dans les mains exclusives d’un petit groupe social, bourgeoisie ou non.


Tout ce processus me paraît inéluctable, il convient de s’y préparer, pour oeuvrer au mieux, afin qu’il se passe dans les meilleures conditions possibles et que le résultat qui en découle soit le meilleur possible.

Réflexion sur une révolution nécessaire

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(Texte issu d’une conversation sur un réseau social)

Qu’est ce qu’il vous faut encore de plus pour commencer à vous réveiller ? Pour comprendre que vous êtes manipulés ? 


A la minorité braillarde des petits bourgeois, relais zélés des matraquages médiatiques du mainstream et soutien invétérés du régime néolibéral ? Je pense qu’il leur en faudra toujours un peu plus, le fascisme leur va comme un gant #leskaposdelarepublique…pourvu qu’ils continuent à jouir de leurs médiocres privilèges sur le dos de ceux qu’ils s’arrangent bien à ne pas voir. Aux autres ? Ceux qui n’ont aucun intérêt à ce que ce système qui les exploite, les rabaisse et les humilie perdure ? Je pense que plus le pouvoir bourgeois se sent tout puissant et mènera sa politique de fascisme décomplexé, plus ils ne se sentiront mal à l’aise dans le rôle des dindons de la farce. Sérieusement, confinés sauf pour aller bosser ? L’étape d’après ça sera quoi ? Qu’ils se réjouissent d’avoir encore le droit de rentrer chez eux, pour qu’ensuite on les parque dans des dortoirs pour qu’ils ne vivent plus qu’au travail ?   Tout ça, c’est de la prise de conscience de son rôle social en barre ! Et après la prise de conscience, il y a quoi ? (A Camus dans l’homme révolté » à une petite idée sur la question) Le pouvoir bourgeois à trop duré, ses dirigeants sont trop déconnectés des réalités sociales pour prendre des décisions qui ne leur nuiront pas à terme. Ca sent très fort la fin de régime et je m’en réjouis. Tout vaut mieux que ça.

oui mais pour faire quoi ? 


Certains diront que simplement crier révolution n’amène rien … si …au pire , les extrêmes . La plupart des révolutions ont malheureusement abouti à des dictatures. Il ne suffit pas de crier mais il faut aussi voir ce qui peut nous attendre derrière . Il y a de nombreux dirigeants dans le monde , sont ils tous de la même graine ? Quel est le régime aujourd’hui qui fonctionne ?


Je répondrai à ces questions par une autre : Est-il mieux de rien faire et de laisser le pouvoir bourgeois terminer son spectacle et préparer le suivant ? 
 Les extrêmes que l’on nous agite en cas de velléité de changement de régime, ne sont-ils pas déjà présent ? Que voulez vous de plus, des fers au pieds ? Un changement est toujours un risque, mais le non-changement, dans le cas présent, n’est-il pas un risque certain, une inconscience, une irresponsabilité vis à vis du présent et du futur ? 
Tous les dirigeants sont-ils de la même graine ? 
La plupart, hélas. Ce sont des gens avides de pouvoir, l’ayant recherché et s’en étant fait un objectif de vie, de carrière. Très peu aujourd’hui, me semblent avoir un sens aigu du collectif, de leur service du à leurs administrés et non l’inverse. 


Crier révolution est déjà une bonne chose, cela vient d’une prise de conscience nécessaire et de plus en plus collective, majoritaire. Quand à mes idées, pour autre chose de mieux, un autre type de gouvernance pour mieux vivre en collectivité, de nouvelles personnes à la coordination et un nouveau contrat social avec de réels garde fous pour le faire respecter…J’ai tout un programme…Mais comme je ne veux pas finir comme Coupat, Assange ou autres êtres pensant avant l’heure, je m’abstiendrai d’en détailler les termes chez ce cher Marc Z. Ce blog en détaillera certains termes dans différents articles Je vous propose à ceux qui se considèrent comme des citoyens, et même aux autres, de réfléchir de votre côté, vous aurez certainement tout un tas d’idées au moins aussi intéressantes que les miennes. Par la même, je nous propose tous de cesser de pratiquer la croyance religieuse en l’inéluctabilité d’un pouvoir bourgeois qui nous prouve chaque jour son incompétence et sa malveillance envers tout ce qui n’est pas lui…Même avec ses perroquets zélés qui pullulent sur les réseaux sociaux, ce système est malveillant. En cas de houle, ils seront tous foutu au bord du précipice…Montrés comme les bouc émissaires des tenants des ficelles, qui se planqueront derrière leurs marionnettes, comme à chaque fois en fin de régime…. 

Ne rien faire ne me semble donc pas une option valable si l’on veut que les choses changent, car je ne pense pas que le pouvoir bourgeois désaxe sa route de lui même, ou que les choses revirement de manière naturelle.  Le fait unique de crier révolution n’amène rien en soi. même avoir de bonnes idées , ne gagera pas qu’elles soient partagées par tous.  Il semblerait être dans la nature humaine d aimer la contradiction et la confrontation. Il faudra certainement convaincre pour que des idées neuves  au sujet de l’organisation collective soient prises en compte.

  
D’abord crier révolution, ensuite la faire. Je ne puis quantifier qui pourrait avoir les mêmes idées, et je suis certains que mes opinions politiques ne sont pas majoritaires et ne convaincront jamais une majorité. Ce n’est pas une révolution pour imposer des opinions politiques qu’il faut faire, mais une révolution instituant un régime politique objectif, avec des droits, des devoirs, une citoyenneté réelle et matérielle. Un régime politique de ce type, devra être concerté avec tous, par le biais de doléance, constituantes, réunion locales et représentants de ces entités locales à la subdivision locale supérieure…Ceci devra être fait avec des personnes, tout le monde, aux opinions politiques et idées sur le bien vivre ensemble différentes…des communistes, des libéraux, des fachos, des condescendants, des cons, des intelligents, des connards, des gens vertueux. Ils composent tous notre monde et plutôt que de les exclure, il conviendrait de leur montrer l’exemple de ce que peut être une société plus équilibrée et bienveillante.

Les institutions devront être élaborées avec l’accord de tous, ou d’une très forte majorités de tous. (les bourgeois ne seront, en grande partie, jamais d’accord, trop intéressé par le système actuel, ou ayant la conviction forete de l’être). Tout ceci est très réaliste, réalisable, sur le principe . Les institutions ne doivent pas être politiques, elles doivent être le socle avec lequel on fait de la politique. Je serai ravi de tenter de convaincre du bien fondé de mes idées, au sein d’un système institué honnête. Nous sommes loin d’y être actuellement. Il faut, donc, dans un premier temps, instituer un tel système, former les citoyens à son fonctionnement, à leurs droits, leurs libertés, du contrat social qu’ils signent et qui implique des contre parties pour que ça fonctionne, des efforts, des participations. Aujourd’hui, le pouvoir fait tout pour éloigner les citoyens de leur citoyenneté perdue il y a bien longtemps (si elle a déjà existé…). Les gens seraient ravi, s’ils comprenaient leur intérêt dans le mieux vivre en collectivité, d’y participer, de s’y engager. Aujourd’hui, nous vivons dans une société de bourgeois, faite par les bourgeois, pour les bourgeois. Le but de ses institutions sont le conservatisme social, le contrôle de la population par une minorité. Bien que l’après « crier révolution », soit effectivement plus constructif, ce n’est qu’une continuité de la construction démarrant par le « crier révolution ». je ne veux pas culpabiliser les gens qui crient révolution sans avoir écrit de bouquin sur la question. Les Gilets Jaunes ont démontré qu’il fallait peu de temps à une personne éloignée de sa citoyenneté, pour se la réapproprier et pour avoir des raisonnements politiques très intéressants.  

En ces temps de fascisme ambiant, pesant, oppressif, il est temps d’œuvrer à ce que tout cela change. 

Majorité silencieuse ou minorité braillarde ?

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Des hordes de gens haineux, des hordes de complotistes, des hordes de barbares en tout genre…
En voilà des idées qui passent par delà réseaux et comptoirs du commerce, que l’on entend et qu’on légifère comme sortant du paradigme des dogmes imposés à la populace. 


La majorité silencieuse, celle qui s’identifie visiblement comme telle, s’inquiète de tout ceci, mais s’inquiète bruyamment. 

Étalage de peurs diverses sur fond de publicité normative, le bruit des bottes anonymes sait se faire entendre pour qui dit ne pas faire de bruit. Bien ancré dans un monde où il lui convient de ne pas trop réfléchir, ne reflétant que très peu la lumière qui passe, cette majorité silencieuse auto-proclamée s’exprime et prime sur tout autre idée que les siennes. 


Mais revenons sur la définition identitaire de ce groupe de population…


Majorité pourquoi ? 


Parce qu’elle fait beaucoup de bruit ? 


Parce qu’elle est à l’aise pour exprimer l’opinion qui ne fera jamais objet de censure de la coercition officielle  ?


Parcequ’elle se sent légitimé par la puissance économique, politique, sociale et culturelle dont elle diffuse les dogmes ? 


La majorité n’est-elle pas une valeur, un nombre ? Et combien sont-ils finalement ? Combien ont soutenu activement le système en place…Parce que, ne nous leurrons pas, nous parlons bien d’un soutien actif au régime, en parlant des gens évoqués ici. 


Combien sont-ils à avoir activement voté pour le régime en place ? 20% de la population inscrite sur les listes électorales, qui représente 87% des gens en capacité de voter ? Ca fait quoi, même pas 15% de la population, dont une bonne partie doit regretter son choix aujourd’hui ? On dira 10% de soutien global des majeurs, français, nourris, logés, blanchis et vaccinés au pays de Molière, est-ce une majorité ? 


Ce sont pourtant eux quasi seuls qu’on voit, sur le mainstream, mais aussi, malgré ce que eux en disent, sur les réseaux. Eux, ce sont ceux qui n’hésitent pas à venir commenter sur vos pages, lorsque vous osez publier sur la votre, des communications un peu trop hérétiques, complotistes à leur goût.

Eux, ce sont ceux qui n’ont de cesse de vouloir semer la bonne parole chez les autres, des témoins de jéhovah du système, des missionnaire irréfléchis du néolibéralisme.

Eux, ce sont les vichystes, les collaborationnistes, les agents infiltrés inconscients. Eux, ce sont les auto-conditionnés, ayant fait trois fois le tour de la matrice jusqu’à l’aimer, la chérir et la défendre coute que coute.

Eux, sont presque impossible à sauver, au contraire de ceux qu’ils n’ont de cesse de vouloir influencer vers un chemin de vie qui ne me semble pas être le leur. 


Doit-on les laisser s’auto-discréditer ? Doit-on les combattre ? Chacun fera ce qui lui semble être le meilleur. 


L’animal acculé est toujours plus agressif. Nous touchons à la fin d’un régime qui se défend logiquement, de manière plus véhémente. Les perroquets du système suivent naturellement. 


Non, cette majorité silencieuse auto-proclamée n’est pas non plus silencieuse, elle est brayarde. Elle s’étale, vocifère et fait pulluler ses discours tantôt crétins, tantôt abjectes. 


La majorité silencieuse auto-proclamée, est en réalité, la minorité braillarde. 
Elle s’exprime sans contrainte au pays du fascisme et tant qu’on évoluera dans ce contexte, elle n’hésitera jamais à continuer à se faire entendre. 

Lorsque les temps changeront, ils retourneront leur veste, comme de bien entendu, puisque attirés par le côté rassurant et sécurisant du pouvoir, comme des mouches à merde. Ils deviendront résistants dès 1946 et s’auto-proclameront ayatollah du régime qui suivra. C’est ainsi et il nous faudra, quoi qu’il en soi, vivre avec eux. 


En revanche, il convient de remettre les choses à leur place.

Les minorités, ne sont pas les majorités, les braillards ne sont pas silencieux. Une fois l’église remis au milieu du village, il est plus aisé de la distinguer comme telle. 

L’exemplarité des élites.

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Ils vous font porter un slip sur la tête toute la journée, eux n’en portent pas.

Ils vous disent de vous serrer la ceinture, eux s’offrent des bureaux à 1 million d’euros…

Ils vous disent quoi penser, mais ne s’appliquent en rien cette pensée à eux mêmes …

Et vous, vous les suivez, dans leurs décisions absurdes (absurdes pour vous, eux ont de très bonnes raisons de vous les faire appliquer), vous pensez ce qu’ils vous disent, vivez ce qu’ils vous disent, consommez ce qu’ils vous disent, respirez ce qu’ils vous disent….

Alors qu’ils se montrent devant vous, à faire eux-mêmes, tout autre chose, à ne pas s’appliquer à eux mêmes, les contraintes qu’ils vous imposent, à se pavaner devant vous avec leurs privilèges, dont ils augmentent le nombre à mesure qu’ils vous privent de vos libertés restantes…

Jusqu’à ce que vous y soyez plus habitués, qu’habitués, jusqu’à ce que vous soyez conditionnés au deux poids, deux mesures, à la normalité de la différence de traitement entre les uns et eux, sans légitimité aucune…

La légitimité, c’est votre conditionnement, votre aveuglement, votre amour pour vos maîtres. La légitimité, c’est votre stupidité religieuse, votre foi en vos oppresseurs.

Les soumis en balade…

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La soumission est une des plus nobles notion du concept actuel de citoyenneté. 
Ainsi, les personnes individuelles d’un groupe donné, acceptent de donner leur souveraineté, à d’autres, pour le bien du groupe. Le tout se fait sur les bases de la foi en ses maîtres, sans aucun moyen de contrôle, de destitution, de reprise du pouvoir délégué à d’autres en cas d’abus de ces « autres ». 


Pour faire fonctionner tout ce système, le pouvoir, celui que vous avez donné sans contre partie, à besoin de petites mains dociles, recrutées très justement, en fonction de leur capacité de calibrage individuel, à ce que « la société » attend d’eux. 

Une fois adoptée, la petite main du pouvoir qu’est le fonctionnaire, peut œuvrer toute sa carrière durant, sécurisé par la confiance que son maître à en lui.  


Je parle souvent du travail de fonctionnaire, dans les termes suivants : « un fonctionnaire, ça n’est pas impossible à virer, mais c’est très difficile, même le dit fonctionnaire s’avère être très défaillant. Le fait qu’il ne travaille pas, ne suffit pas à le virer. Le fait qu’il ne soit pas présent sur son lieu de travail ne suffit pas non plus. Le fait qu’il travaille horriblement mal, soit horriblement défaillant, fera peut-être mobiliser des contrôleurs, ou autres inspecteurs, lui fournira un poste « au placard »,  mais ne suffira pas non-plus à le virer. Le fait qu’il insulte, ou frappe un usager, un collègue, ou un chef, ne suffira pas à le virer non-plus, à moins que la scène ai été filmée et diffusée dans les médias mainstream (et encore, dans ce cas extrême, on est sure de rien). 


En fait, le meilleur moyen de virer un fonctionnaire, est que le ministre de tutelle, puisse personnellement filmer une scène du viol incriminant la personne à virer, sur son lieu de travail. Pour que la procédure fonctionne, il faudra, au préalable, que la personne à virer ai signé un droit à l’image, afin que la vidéo puisse faire office de preuve devant le tribunaux. Ce n’est qu’à partir de là, et suite au procès condamnant le futur ex fonctionnaire, lui deviergifiant son casier judiciaire, que la personne pourra être licenciée de la fonction publique, puisque n’étant plus titulaire d’un casier judiciaire vierge. 
(Ou alors, on peut incriminer le fonctionnaire à virer, comme ayant partagé en public, ou sur les réseaux sociaux, des opinions opposées aux évangiles gouvernementaux. Dans ce cas, il contreviendrait à sa mission première et fondamentale, dans sa représentation de la saine parole et du saint positionnement, écho du pouvoir dont il est la visibilité.De manière générale, ceci est la meilleure méthode du moment pour faire perdre son travail à une personne, et ça fonctionne aussi pour les non-fonctionnaires. )


Le même principe s’applique à la majorité des citoyens français, dans leur approbation tacite aux décisions gouvernementales. Pour que ces derniers se mettent à se bouger le cul en cas d’atteinte grave du pouvoir à leurs droits fondamentaux, il faudrait que l’équipe du gouvernement en son entier, vienne violer directement la grand mère de chaque citoyen non-révolté suite à atteinte à leurs droits fondamentaux, leurs primaires libertés. II faudra également, que la scène soit filmée, puis diffusée sur les médias mainstream, validant ainsi, en tant que preuve pour l’opinion publique, le dit viol massif de grand mère. La validation en délégitimité des actions gouvernementales devra ensuite être discuté sur Balance Ton Poste de Hanouna et être validé par Karine lacombe et Gilbert Deray sur LCI. 


Ce n’est qu’à partir de là, que les dits citoyens, accepteront de signer des pétitions et éventuellement, d’aller manifester dans les quartiers les plus pauvres de Paris, le tout, en maintenant une distanciation sociale de une ou deux rues, entre chaque manifestant. Afin de pouvoir sortir en toute sécurité, les dits manifestant, s’appliqueront en auto-discipline, à boire un litre et demi de gel hydro alcoolique, afin de ne pas risquer de contaminer l’atmosphère des balcons parisiens à chaque expiration. Ils s’exposeront très volontiers à des poursuites judiciaires en cas de non-port du masque sur la bouche, ainsi que du slip sur la tête, des fers au pieds et du drapeau français dans le cul. 

Anti-masque ?

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Anti-masques ?
Ce n’est pas si compliqué de mettre un masque, quand même !
On peut bien faire ce tout petit effort pour protéger nos grands mères, nos veuves et nos orphelins, que diable !


N’allez pas nous faire croire qu’un tout petit masque fait du mal, les médecins en portent un toute la journée !
Et les chinois alors, à Pékin, ils sont nombreux, depuis fort longtemps à en mettre, des masque. Là bas, c’est même entré dans les moeurs et ils n’en sont pas morts !


Malgré toute ces affirmations, que l’on peut entendre, de ci, de là, malheureusement, le masque semble pourtant faire du mal de la manière dont il est utilisé.
Premièrement au niveau sanitaire, mis, remis, mis dans la poche, remis, utilisé en extérieur par 30 degrés…(il faudrait dans ces conditions le changer tous les 1/4 d’heures (préconisations dans les armées), ce que personne ne fait et ce qu’aucun média mainstream ne recommande vraiment…). Beaucoup de maladies, résultants de l’inhalation de champignons, bactéries et carbone aspiré en quantité trop grande sont à prévoir (ces maladies seront peut-être recensées comme du COVID, qui sait…). Oui, les médecins utilisent le masque, mais contre les projections, pas contre les virus. Ils en changent dès qu’ils changent d’espace et s’en servent dans des conditions de climatisation et d’aération toute autre que ce que le grand public fait en pratique. Quand à ceux qui le portent dans les grandes ville chinoises, comme à Pékin, c’est pour se protéger des particules de pollution et non du covid ou de tout autre virus.

Deuxièmement, le masque fait du mal aux libertés publiques, il musèle symboliquement les gens, et les fait prendre l’habitude de ne plus pouvoir respirer, circuler, se réunir librement (le masque et les restrictions qui vont avec, mais le masque est le symbole le plus visible…).Il ne faut pas se leurrer, entre les libertés publiques mises à mal, de plus en plus fréquemment et dans des domaines de plus en plus fournis, et vous, il n’y a aucun Covid actuellement..Il n’y a qu’une volonté politique de vous conditionner à une soumission grimpante, envahissante…A vous normaliser au « meilleur des mondes ». Bravo, test réussi ! Sachez bien que tant que vous réussirez les tests, vous passerez à l’étape supérieure.

Le masque fait du mal, au moins sur ces deux point, mais je pourrais encore largement développer…Lorsque l’épidémie de Covid faisait rage (environ de mars à mai 2020, en France, on circulait sans masque, notamment dans les supermarchés, alors que c’est là que le masque aurait pu être utile, semble t-il. Aujourd’hui, si on veut être prudent, mieux vaut se méfier de ce qu’on touche, que de ce qu’on respire. Les médias mainstream sont alarmistes, font peur à tout le monde, et ne donnent qu’un point de vue, celui d’un pouvoir tendant vers un certain totalitarisme, salutaire pour tenter de contenir sa crise en légitimité( accentuée notamment, suite à la gestion des états occidentaux de l’épidémie lorsqu’elle faisait rage (taux de létalité des plus importants au monde en Europe et en Amérique du nord)).


Je ne suis ni anti-masque, ni ne remet en cause la réalité de cette maladie, dans l’absolu. Il se trouve juste qu’aujourd’hui, il me semble que des gouvernements incapables de protéger convenablement la population lorsqu’il était temps, tentent opportunément de se servir de cette crise sanitaire passée, pour asseoir un pouvoir encore plus autoritaire.

Les médecins et les professions médicales se taisent en majorité, car ce sont en majorité des vendus du système de pouvoir actuel (consciemment pour certains, inconsciemment pour d’autres…)
Voyons ce qu’il se passe vraiment en ce moment même.


Vous voyez du Covid, vraiment ?


Je crois que vous entendez surtout des tests positifs tintamarres par voie médiatique et voyez certaines personnes qui attrapent un rhume, comme souvent en cas de refroidissement lorsque l’automne arrive. Ce qui est réel, en revanche, ce sont les restrictions et vous qui vous y conformez.
Voyez la réalité en face, arrêtez de croire aux fables gouvernementales dispensés dans les médias.

Voyez les faits pour ce qu’ils sont, pas sur ce qu’on peut vous en dire. Prenez conscience du rôle qu’on tente de vous faire jouer, conscientiser le et prenez vos décisions en votre propre connaissance de causes.

Informez-vous, renseignez-vous au delà des informations toutes consommables dont on vous aveugle. Il n’y a qu’ainsi, que vous choisirez réellement le monde dans lequel vous voulez vivre.