Covid19 : Liberté d’expression et responsabilité sur autrui.

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Covid 19, une histoire de croyance ?

Cette fausse pandémie nous aura au moins appris une chose. Les médias mainstream peuvent vous raconter ce qu’ils veulent, vous y croirez. Vous êtes des croyants. Cela vous permettra peut-être de mieux comprendre comment sont heurté d’autres croyants, lorsqu’on caricature leur prophète …

Je suis pour la liberté d’expression, même celle qui caricature des prophètes, je n’ai pas d’ambition d’interdire quoi que ce soit en la matière…

Cependant, j’imagine vos têtes, si on caricature vos prophètes à vous. Ceci me donne encore plus goût à la liberté d’expression.

Voyez les enseignants, ces grands croyants devant l’éternel de la religion « démocratique républicaine. » Ils diront quoi si on caricature un de leur prophète, le martyr Samuel Paty ?

Ils seront pour la liberté d’expression, pour la libre caricature à ce moment-là ?

Il n’y aurait pas un fanatique religieux enseignants pour venir buter l’auteur du dessin ?

Ou, je dessine très mal (au départ, je voulais imiter la caricature du Mahomet à genou avec une étoile dans le cul, diffusée par l’enseignant décapité, mais dessiner avec la souris, c’est chaud…Je suis vraiment pas caricaturiste !) C’est juste un exemple de ce qu’on pourrait faire comme caricature du martyr Samuel Paty. J’ajoute que je ne tiens nullement à inciter à la haine et que je ne cautionne aucune décapitation quelle qu’elle soit. C’est une caricature, donc elle se moque et peu aussi se moquer des morts, mêmes violentes et injustifiables. N’est-ce pas ça, la liberté d’expression accordée à ceux qui se moques du prophète d’autres croyances que les leurs ?

C’est souvent un des problèmes des croyants, leurs croyances les aveuglent à tout autre point de vue.

C’est aussi pour cela qu’ils ne peuvent supporter qu’un film comme Hold Up existe, ou même les « complotistes » en règle général…

Quelques articles sur le sujet :

La censure sur les réseaux sociaux et la bataille de l’opinion.

Je constate de la censure à tout va sur les réseaux sociaux, mais je constate également que les principaux censeurs, n’ont de cesse de vouloir revenir au sujet de leur censure…Comme s’ils n’arrivaient pas bien à avaler le fait que certains les classent dans le rôle de censeur, qu’ils n’assument pas être.

Le « Pass Covid », rappel des sombres heures du passé.

Souvenons-nous des parcs et jardins interdits aux chiens et aux juifs, souvenons nous des toilettes interdites aux nègres…Et rappelons nous qu’aujourd’hui, ce qui nous est proposé et qui est suivi si promptement par nos amis collaborationnistes, est ni plus ni moins d’interdire certains endroits publics, de plus en plus avec le temps j’imagine, aux personnes…

Aux adeptes de la secte religieuse du Covid tout puissant :

Il me semble toutefois dommageable que leurs croyances covidiennes, qui ne devraient concerner qu’eux, obligent et contraignent tellement les autres…J’ai parfois l’impression de subir un genre de république islamique, sauf qu’il s’agit d’une autre religion que l’islam qui règne. Il s’agit néanmoins, d’une religion avec ses dogmes, ses missionnaires, ses inquisiteurs. Une religion avec ses…

Oui , parce que contrairement à beaucoup de croyants en d’autres religion, le croyant aux dogmes « démocrates républicains » (un jolie nom pour désigner, le « totalitarisme néolibéral »), croient dure comme fer que leurs croyances ne sont en rien religieuses, irrationnelles, mais bien « scientifiques » (on comprendra la dedans, les « sciences humaines »).

Les croyances et leurs conséquences :

Le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a été interrogé sur le fait que les membres du gouvernement ne se fassent pas vacciner en premier, ne serait-ce que pour donner l’exemple, alors que la méfiance reste importante en France à l’égard du vaccin.

Source: https://bit.ly/37u5ADC

Dites bonjour à Gabriel !

Les membres du gouvernement refusent de se vacciner les premiers. Les dirigeants de Big Pharma jouent à la bourse et vendent leurs actions à la veille d’annonces de sorties de vaccin, se faisant quelques millions de dollars au passage…On vous explique que les industries pharmaceutiques qui vendent les vaccins aux états, ne seront pas responsables juridiquement des potentiels effets secondaires des vaccins, mais que ça sera l’état, donc vous indirectement, qui serez responsables.

Vous ne vous étonnez donc pas que la recherche sur les effets secondaires des vaccins soit si peu poussée ?


Vous ne voyez donc rien venir ?


Je dis juste ceci, concernant les personnes adultes et jugées comme « responsables de leurs actes » (donc pas les enfants et les personnes vulnérables, comme certaines personnes âgées, ou malades) : :


Si vous vous faites vacciner, vous méritez votre vaccin…Mais pas vos enfants et les gens sur lequel vous êtes juridiquement responsables. Je pense que, dans la mesure de toutes les preuves de la dangerosité de ce vaccin disponible partout, même sur le mainstream, si vous faites vacciner quand même vos gosses, ou d’autres personnes vulnérables sous votre responsabilité juridique, cette responsabilité qui vous est accordée est clairement à remettre en question.

Je sépare ce problème du fait que vous voulez user de ce vaccin pour vous même, ce qui est votre droit. Ce n’est pas aux autres de vous empêcher de vous suicider. C’est pour cela que je recommande à ce type de personne, comme au personnel politique recommandant le vaccin Covid, de vous faire vacciner avant d’en obliger ceux qu’il vous est permis juridiquement d’obliger.

Piquez-vous, attendez un an ou deux. Un petit recul quoi…

Du recul, vous ne connaissez pas ? Le principe de précaution non-plus ?

La seule précautions que vous connaissez sera-t-elle de suivre au pied et à la lettre tout ce qu’on vous dit de faire ?

Pourvu que ça soit dit sur le mainstream ?

Même si vos maîtres vous en prive de plus en plus, faisant de vous officiellement, les enfants que vous êtes dans vos têtes, vous avez encore certaines responsabilités résiduelles, comme celles de prendre des décisions pour d’autres, ces personnes sous vos responsabilités directes.

C’est un sacré poids, qu’il convient de mesurer, surtout lorsqu’on a à prendre pour eux une décision grave, qui est appelée à être suivie de certaines conséquences, notamment sur leur santé.

Stigmatisation sociale : Enseignants VS Musulmans.

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Au sein du merveilleux principe de pouvoir consistant à diviser pour mieux régner, la tendance actuelle impulsée par nos maîtres, tend au pugilat socio-culturel entre deux types de population, que tout rassemble, autant que tout oppose : les Musulmans et les Professeurs.

Certains sont les deux à la fois…Sale période pour eux.

Analysons ces deux corps sociaux séparément, et leur rapport à la stigmatisation et l’auto stigmatisation.

Les enseignants sont une partie de la population ayant une forte propension à l’auto-stigmatisation sociale et culturelle. Irresponsables, incurables et dangereux pour certains, cette partie de la population a pour spécificité de représenter le pouvoir (éducatif) auprès du tout venant social. Elle a tendance à pointer à qui est mineur et obligé de l’entendre, que ses stigmates sont les seuls qui puissent avoir le privilège de l’expression libre…

Disons qu’on ne peut plus parler du même type d’auto stigmatisations (du au contexte social) que celles que s’infligent elles-mêmes, des populations musulmanes dont la couleur de peau, la religion, ou même le lieu de résidence, rend moins facile certains accès à certains aspects basiques de la vie sociale, comme trouver un logement, du travail et ne pas se faire traiter comme des parias à longueur de discours médiatico-politiques. Irresponsables, incurables et dangereux pour certains, les tribunes de leurs agents stigmatisant, ont bien plus pignon sur rue, que celles s’appliquant au groupe de population des enseignants.

Cette différence s’explique très facilement par la place qu’occupent ces deux corps socio-culturels, au sein de la société française actuelle.

Heureusement, en ce sens, les choses évoluent.

Dans un certain crépitement de fin de régime, les tenants de nos coercitions légitimes tentent une fois de plus de diviser les uns et les autres, histoire d’occuper la populace à ne pas situer d’où vient le problème de stigmatisation et leur propension à s’y conforter dans une sorte de refuge socio-culturel.

Tout ceci est un réflexion sur le global.

Evidemment, tous les musulmans ne sont, heureusement, pas honteux d’être musulmans parce qu’un taré à coupé la tête d’un enseignant, au nom de l’interprétation d’une croyance que peut faire un taré (qui n’aurait certainement pas manqué de couper la tête de quelqu’un d’autre, pour toute autre raison, si son chemin de vie de taré à l’air libre était allé au delà).

Evidemment, tous les enseignants ne sont pas de gros collabos soutenant un régime fasciste dont la tendance sociale actuelle, est la stigmatisation de certains groupe de population auprès de ses « citoyens perroquets » les plus zélés à diffuser leur propagande (« je stigmatise les uns d’une main, je prive de liberté, de droits et de dignité les uns et les autres »).

Certains musulmans, comme certains enseignants, peuvent avoir une fâcheuse tendance à penser que leurs croyances religieuses, sont les seules qui vaillent…

C’est dommage de vouloir imposer sa morale aux autres…

Je trouve opportun qu’il y ai des règles communes, mais quand on parle d’avis et de croyance, il serait, selon moi, préférable, que chacun puisse s’exprimer et ne pas empêcher ceux d’autres croyances, ou d’autres avis, de le faire (dans le cadre d’une certaine bienséance, bienséance dont il serait opportun de retirer le fait de couper des têtes, ou encore de diffuser des images de prophète avec une étoile dans le cul en classe, à des élèves de 4e, en considérant, évidemment, que la deuxième proposition, ne justifie en rien la première).

J’ai également l’impression que pour arriver à cela, il faudrait que les tenants du régime politique en place actuellement en France, ne soient pas eux mêmes, des sortes de fanatiques religieux, imposant leurs dogmes et les croyances de leur caste à l’ensemble de la population (et qu’on arrête de nous raconter que les gens les ont choisi, pure foutaise).. Cela me fait l’effet d’une république islamique ou le Coran est la loi…(le tout sans dire que le Coran est une religion et en interdisant de le dire, histoire de retirer les possibilités de définition de terme aux sujets du régime, dans le but qu’il ne puissent pas matérialiser ce qu’ils subissent et empêche ainsi, toute possibilité de prise de conscience de qui fait quoi, dans quel but).   

La question du « a qui profite le crime », est naturellement, dans ce cas, comme dans bien d’autres, à se poser.

Les musulmans, dans leur ensemble, en tant que communauté, ont-ils intérêt à ce que les professeurs aient peur de se faire couper la tête par eux, en cas de mot de travers ou de diffusion de dessins tout pourris ?

Les enseignants ont-ils ont-ils intérêts à se mettre à dos en les stigmatisant pour leurs croyances, culture, une bonne partie de leur public auquel il rendent leur service d’enseignement ?

Alors pourquoi œuvrer dans des considérations qui ne sont ni intéressantes pour les uns, ni pour les autres ?

Qu’est-ce qui nous pousse à faire des choses qui nous nuise ?

Qui pourrait y avoir un intérêt ?

Chacun répondra, ou non, à ces questionnements comme il le souhaite.

Deux poids, deux mesures et tête coupée…

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Tien, un prof s’est fait couper la tête…
Et la queue ?
Et la tête !
Alouette !


Retraçons l’origine du mal :


Un prof en collège de banlieue parisienne, décide de faire un cours sur la liberté d’expression…Ce n’est peut-être pas le premier. Pourquoi pas, un bon sujet à traiter avec des élèves de collège.
En ces temps de procès suite aux attentats à Charlie Hebdo de 2015 (le temps de la « justice »), ont resurgi les « je suis Charlie » qu’on croyait définitivement enterrés des modes de matraquage de la presse mainstream, souvent relayées de manière très orthodoxes par nos chers enseignants, auprès de leurs élèves.


Ce Monsieur Samuel Paty, n’a donc certainement pas manqué de jouer son rôle social, en apportant sa pierre à l’édifice de la liberté d’expression des blancs bourgeois, visiblement en légitimité exclusive au sein des propagandes éducatives françaises.


Au final, voilà un crime spectaculaire. Un enseignant faisant de la provocation sociale et culturelle (on détaillera plus loin) se faisant décapiter par un taré. Rien ne justifie qu’on se fasse couper la tête, une évidence.


Ce qui m’intéresse ici, ce n’est pas le crime en lui même, mais les réactions qu’il provoque. Ce sont aussi ces origines probables, non pas celles amenant un taré à commettre un acte qu’il n’aurait certainement pas manqué de commettre sur d’autres, pour de toutes autres raisons, mais les origines d’un malaise social et culturel, terreau de ce crime exécuté par un taré qui n’est que la surface visible de l’iceberg.

Il conviendra donc d’évoquer plusieurs notions :


– la liberté d’expression

– le rôle social et culturel des enseignants

– le malaise social et culturel de la population musulmane en France

– les réactions suite au crime et les volontés d’orientations médiatico-politiques qui s’en suivent

Les caricatures incriminées…Est-ce vraiment intéressant ?


Non, elle sont toutes plus nulles et moins drôles les unes que les autres.
Faut-il les interdire ?
Non. Drôles ou pas drôles, de qualité ou non.


Est-ce vraiment opportun de diffuser auprès d’élèves de 4e, un dessin de Mahomet avec une étoiles dans les fesses, lorsqu’on est professeur dans l’exercice des ses fonctions ?


Je ne pense pas et ce n’est pas pour moi une question de religion, ou de blasphème religieux, mais plus une question de bon sens éducatif.

Constater ceci me laisserai tendre à penser que le professeur en question fait passer ses convictions politiques personnelles, prioritairement aux vertus éducatives de son enseignement.

Ainsi, je comprends bien que des parents se soient plaint du cours du professeurs, et que quelques-uns des plus coincés du cul d’entre eux, aient appelé à manifester, ou à se plaindre collectivement auprès de la hiérarchie de l’enseignant, sur son enseignement. Non, les vilains musulmans n’ont pas demandé à ce que soit tué le professeur, il se trouve simplement qu’un taré est passé par ce contexte local de conflit parents/professeur, ou parents/établissement et qu’il n’a pas trouvé mieux que de venir couper la tête à ce Monsieur Paty


Les réactions suite à l’acte :


Evidemment, suite à cette voie de fait (rappelons qu’en France, il y a plusieurs assassinats par jours, et il doit y avoir plusieurs têtes coupées par an…), les réactions n »ont pas manqué de se faire entendre.
Il ne s’agit pas de se cacher derrière son petit doigt non-plus, ce crime a bien été commis par un musulman (jeune et taré), au nom de la défense de l’image du prophète Mahomet contre un impie l’ayant profané…Il s’agit donc d’un crime commis au nom de la religion musulmane, c’est très clair.
Nos chers islamophobes plus ou moins dormants, n’ont donc pas manqué cette bonne occasion pour se manifester. Lorsqu’un taré tue au nom de l’islam, c’est naturellement l’islam qui veut tuer tous les blancs bourgeois défendant leur liberté d’expression blanc bourgeoise, contre le vilain islam qui n’aime pas les dessins pourris de Charlie Hebdo…


Pire du pire, les courageux professeurs, se sentant d’un coups des défenseurs de leur liberté d’expression et des champions antifascistes, liberté d’expression qu’ils bafouent quotidiennement concernant tout ce qui sort de leur doxa socio-culturelle bourgeoise, et fascisme pour lequel ils sont les agents collaborationnistes en muselant quotidiennement leurs élèves avec leur masque magique, ainsi qu’avec la propagande sanitaire et sécuritaire qu’ils relaient, diffusent et défendent.


Rien, d’étonnant à ce que les professeurs aient une réaction coporatrice, rien d’étonnant non plus à ce qu’ils se sentent concernés par le meurtre de leur collègue. On est naturellement plus concerné par les choses qui nous concernent, et plus elles nous concernent directement, plus elles nous font réagir. Les professeurs, comme bien d’autres, ne réagiront donc pas trop à tous les meurtres ne concernant pas des professeurs et à toute atteinte à la morale qui ne sera pas celle de leur classe sociale.


Les professeurs, puisque c’est leur mode d’expression habituel et exclusif, n’ont donc pas manqué de se rassembler pour manifester leur soutien à leur confrère décédé.


Tien ? On a le droit de manifester pas les temps qui courent…Visiblement, pour ce coup ci, les professeurs en ont eu le droit…Et ne se sont pas fait taper dessus par les CRS….

Un des problèmes soulevé par cette affaire de l’homme à la tête coupée, réside dans le fait que les professeurs ont tendance à diffuser leurs avis, leur morale, de leur position de professeur de la république, « élite intellectuelle de la nation » (du moins, semblent-ils souvent le penser).

Ils diffusent leurs avis de classe en classe, comme étant les avis et les morales communes, ce qui est loin d’être le cas. Leur enseignement est obligatoire, l’adhésion à leur morale n’est pas encore unanime. De ce phénomène, vient naturellement un sentiment d’arrogance subie par des groupes de population ne se sentant pas solidaire de cette morale diffusée obligatoirement et parfois avec beaucoup d’aplomb, à leurs enfants.

Deux poids, deux mesures :


Si réelle liberté d’expression, on devrait pouvoir cracher sur tout le monde, toutes les coutumes, croyances, religions…Or, ce n’est pas du tout le cas en France et visiblement, il y en a que ça énerve.
A l’éducation nationale, les professeurs se font souvent les ayatollah de la culture dominante, celle qui donne le droit de cracher sur tels ou tels, plutôt que tels ou tels.
Pour allumer la mèche de la violence aveugle, il aura suffit qu’un adepte orthodoxe du fameux « je suis Charlie », applique ses dogmes de manière rigoriste devant un public visiblement pas encore prêt à faire la transition vers la pensée unique du « meilleur des mondes ».
Ce monsieur Paty, semblait donc ne pas avoir assez la tête sur les épaules, pour adapter ses croyances au contexte ambiant. Le contexte ambiant se serait donc chargé de joindre le geste à sa parole, de quoi lui remettre un peu plus les pieds sur terre, malheureusement en lui faisant perdre la tête dans l’opération, ce qui est, dans tous les cas et avec toutes explications du monde, déplorable.
  


Il me semble nécessaire de redéfinir la portée religieuse de croyances étatiques relayées massivement par ses fonctionnaires, notamment au sein de l’éducation nationale.

Ceci me donne l’effet d’une famille arrivée dans un pays étranger, et obligée de scolarisée son enfant, puisque scolarité obligatoire dans ce pays, comme chez nous, dans une école coranique. La famille ne souhaite pas adhérer aux valeurs de l’islam, mais est obligée dans ce pays, de scolariser ses enfants dans une école coranique. C’est évident qu’il y a quelque chose qui n’ira pas, pour école, pour la famille…
A l’éducation nationale, c’est un peu pareil…Il y a des personnes n’adhérant pas forcément aux valeurs de la religion de l’état nation macronien, issues de l’état nation blanc bourgeois…Ces familles sont obligées d’inscrire leur gosse, encore plus depuis les lois récentes restreignant fortement l’école à domicile, dans des écoles de la religion « laïque française ». Ce qui est particulier, dans ce cas, réside dans le fait que cette religion interdit de la définir comme telle, ce qui a tendance à la faire considérer comme faisant partie des lois naturelles, ce qui la rend encore plus intégriste que les autres religions. (ces adeptes ne matérialisant pas le fait d’être croyant en une religion, mais se fourvoyant dans une sorte de science infuse, ainsi très naturellement diffuse…) 


Pour conclure…


En résumé, il s’agit ici d’un meurtre, dont il convient de ne pas nier une portée religieuse flagrante (religion musulmanne VS religion blanc bourgeoise). Il convient de rappeler que ce meurtre, n’est que l’acte d’un fou isolé, et non d’un terrorisme islamique généralisé en France. Il convient de contextualiser l’état de la liberté d’expression en France en général et dans l’éducation nationale en particulier, ou les valeurs, codes, normes, éthiques de la bourgeoisie sociale, semblent être les seuls à avoir droit de citer. Il convient de rappeler que les professeurs diffusent quotidiennement cette propagande sociale culturelle à un public, « tout venant social », n’y adhérant pas forcément et se sentant parfois stigmatisé, par des enseignants faisant du zèle auprès de leurs enfants à l’école. 


Je ne cautionne en rien, que quiconque se fasse couper la tête, qu’importe la raison. 


Je ne cautionne pas plus le fascisme diffusé par quelconque groupe de croyant, se permettant de tuer quiconque ne croit pas, ou n’agit pas dans la bonne orthodoxie comportementale prônée par cette croyance. 


Je suis pour une liberté d’expression réelle et non propriété exclusive de certains groupes de population.

Sous les jupes des filles

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La tenue vestimentaire à l’école, en voilà un sujet important qui mérite bien qu’on en obscurcisse tous les autres…

Nos petits formatés en herbe, évoluent à l’école, en collège, en lycée, et le font sans costumes, avec des habits, de chez-eux, susceptibles parfois, de heurter la sensibilité des plus puritains d’entre nous.

La question d’actualité en cette fin septembre 2020 est la suivante : Faut-il laisser la liberté vestimentaire (principalement aux filles) dans le sacro-saint lieu de l’éducation officielle ?

Convient-il, au contraire, d’uniformiser le vêtement, ou alors de régler en centimètre la longueur des jupes des filles, puisque c’est essentiellement de ça dont il est question ?

L’école est le plus grand vecteur de standardisation sociale pour la jeunesse, filles, garçons.

En partant de ce postulat et en se concentrant sur le cas des filles…Liberté vestimentaire totale, ou non, tout dépend du monde auquel on aspire (qui ne définira pas le monde qui sera dessiné par nos maîtres, mais bon, on a le droit (encore…) de projeter son avis en s’imaginant qu’il puisse avoir une incidence factuelle).

On pourrait vouloir que l’éducation nationale participe, suivant le dictat de la mode sexiste et pédophile (cf les personnes qui décident des notions sexistes et pédophiles « à la mode « pour tous), à la putatisation des jeunes filles au sein de l’institution …Histoire de les habituer au mieux, au rôle social primordial qu’on attend d’elles (« on », représentant les dirigeants sexistes et pédophiles (et leur pendant culturel de « la mode ») et tous leurs perroquets qui acclament ces derniers en votant pour eux à échéances régulières).

…Ou alors, on décide que la formation « pute » des jeunes filles ne doit se faire qu’à l’extérieur de l’école…

La question est donc ;

Est-ce qu’on laisse tranquille les filles avec ça à l’école, ou alors, est-ce que l’école doit être un vecteur d’habituation pour elles…(au dictat des industries du vêtements, grands influenceurs culturels pour les jeunes).

Je ne suis pas trop pour les interdis, je veux bien qu’on laisse les mineurs s’habiller comme ils veulent (dont les filles)…Mais est-ce bien les mineurs qui décident des « modes » ? Est-ce les mineurs qui décident des conditionnements vestimentaires commerciaux ?

Il est donc question, avant de hurler aux loups de la censure vestimentaire, de définir qu’elle est la liberté réelle dans l’habillement des mineurs. Outre l’influence parentale, l’influence des industries culturelles de masse, est une notion qu’il me semble important de prendre en compte dans l’équation.

Il conviendra ensuite, de se demander quels sont les buts des actions de ces industries culturelles en la matière. Pourquoi changer les modes constamment ? Il est question de fric, évidemment, rappelons cet élément fondamental du commerce…Mais pas seulement.

Il est aussi question d’influence culturelle globale, d’influence culturelle de masse, agissant ici sur des mineurs, sous la responsabilité de majeurs, que ce soit au niveau familial, ou au niveau des institutions républicaines prenant le relai de la responsabilité parentale lorsque les parents apportent leur contribution à la croissance, au travail.

La question est : Qui décide ?

Les mineurs ?

Leurs parents ?

L’état ?

Les industriels du vêtement faisant et défaisant les modes ?

Il est également question de sexisme, puisque visiblement, les problèmes vestimentaires semblent ne concerner que les filles, les garçons en short et claquettes-chaussettes ne semblent pas déranger autant…

L’institution républicaine de l’enseignement doit-elle être un lieu ou on ne doit pas s’habiller n’importe comment ?

Certainement, il peut paraître opportun que cela fasse parti de son rôle éducatif, afin de former la jeunesse aux codes qu’ils retrouverons en tant qu’adulte, au sein de la société ou au travail. Il est également vrai, que dans la société actuelle, les filles seront plus soumises à ces codes, que les garçons, même une fois adultes.

Le constat est accablant, nous visons bien dans une société sexiste. Ce débat sur les jupes à l’école n’en est que l’énième témoignage.

Le vêtement n’est finalement qu’un emballage, mais un emballage très visible, à portée hautement symbolique. Le fait qu’on s’en occupe plus pour les filles que les garçon témoigne du type de société dans lequel on vit. La réponse que nos maîtres apporteront à ce débat, réponse qui ne manquera pas d’être validée de tous ses perroquets au sein de la population, témoignera également de ce qui importe plus, ou qui importe moins. On parle ici, notamment, de primauté ou non, de l’encadrant éducatif, des parents, face à l’influence des industries de la mode, ou à la mode.

Intéressant de constater tout ce qui peut se passer sous les jupes des filles…Il s’en cache du monde finalement … Mieux vaudrait-il donc qu’elles soient assez longues, sinon, on risquerait de trop voir ce qu’il se passe au dessous… Mais il est également vrai, que plus elles seront longues, plus il sera possible d’y cacher des choses…