Décharges

Les décharges se déchargent de toute responsabilité immédiate. 
Les décharges éloignent toute proximité entre les fauteurs de troubles et les troubles engagés, évitant au maximum, tout retour de bâton potentiel de la part de ceux qui sauront ne pas distinguer le bout du manche. 


L’irresponsable s’inscrit en modèle, l’irresponsabilité en culte, pour qui sait se situer là où la vie d’irresponsable permanent est possible… Ceux qui savent se situer, ou plutôt, ceux qui sont, puisque ces irresponsabilités s’héritent, bien plus qu’elles ne se gagnent. 

On ne mérite pas la rente sociale, ce privilège est inné, de droit divin. Les incompétences et les incapacités ne se travaillent pas, elles se vivent, de la naissance à la mort, fermant les esprits étroits, jusqu’à ce que l’espace qui se restreint fini d’éteindre la lumière. 


Les classes sociales immobiles, les privilégiés de siècles en siècles, les vies entières à s’y habituer de toute part, pourrissent la vie des gens ensemble, ainsi que des gens séparés dans leurs propres ensembles. Chacun engraisse et rouille, sa crasse se grippe et personne ne se voit plus. 

Ils déblatèrent, vocifèrent et agissent par coutume, habitudes, processions, sans ne plus se soucier de ce qui découle de ce qu’ils font. Au bout de la chaîne, ceux qui subissent ces décisions, qui ne se demande même plus d’où peuvent bien provenir, les raisons de ce à quoi ils se sont adaptés, modulés, confondus, fusionnés. 


Entre chaque extrémité des biens et mal nés sociaux, des nuages de fumée, des illusions d’éloignement, des aveuglements collectifs, composés de petites règles d’immunité, pour qu’aucun de ses auteurs en hauteur ne subisse, les cruautés émises.

Dignes de quoi ?

L’important, c’est de rester digne.
Je ne dis pas que d’aller faire la guerre suivant le dictat des pouvoirs divers est plus intelligent……

Mais bon…


Il s’agit aussi de vous regarder un peu, surtout en ce moment. Si vous êtes dignes, c’est du totalitarisme que vous cautionnez.

Un totalitarisme rampant, vous croyez ?


Et non, aujourd’hui, c’est vous qui rampez, planqués derrière vos chaises de bureau, à vous rassurer les uns les autres à coup de slogans vois auto-situant en « démocratie », dans un « état de droit », en pensant que vous « protégez les autres », alors que vous cautionnez le fascisme.
Enlevez-vous toutes les histoires qu’on vous fait monter dans le cerveau, en ce moment, c’est le Covid, demain, ça sera autre chose.


Allez au delà des illusions qu’on vous met dans le pif et observez plutôt les résultats que VOTRE attitude provoque, les dégâts qui sont de VOTRE responsabilité.
Au final, vous êtes en train de détruire vous-même le pseudo modèle de société que vous croyez cautionnez.


Le pouvoir n’est rien sans vous, le pouvoir c’est vous.


Au temps des guerres, comme en ce moment, c’est bien vous qui donnez votre pouvoir, au pouvoir qui n’est plus vous, mais qui continue à agir par vous.


Reprenez possession de vous mêmes, il est temps !

L’exemplarité des élites.

Ils vous font porter un slip sur la tête toute la journée, eux n’en portent pas.

Ils vous disent de vous serrer la ceinture, eux s’offrent des bureaux à 1 million d’euros…

Ils vous disent quoi penser, mais ne s’appliquent en rien cette pensée à eux mêmes …

Et vous, vous les suivez, dans leurs décisions absurdes (absurdes pour vous, eux ont de très bonnes raisons de vous les faire appliquer), vous pensez ce qu’ils vous disent, vivez ce qu’ils vous disent, consommez ce qu’ils vous disent, respirez ce qu’ils vous disent….

Alors qu’ils se montrent devant vous, à faire eux-mêmes, tout autre chose, à ne pas s’appliquer à eux mêmes, les contraintes qu’ils vous imposent, à se pavaner devant vous avec leurs privilèges, dont ils augmentent le nombre à mesure qu’ils vous privent de vos libertés restantes…

Jusqu’à ce que vous y soyez plus habitués, qu’habitués, jusqu’à ce que vous soyez conditionnés au deux poids, deux mesures, à la normalité de la différence de traitement entre les uns et eux, sans légitimité aucune…

La légitimité, c’est votre conditionnement, votre aveuglement, votre amour pour vos maîtres. La légitimité, c’est votre stupidité religieuse, votre foi en vos oppresseurs.

Les soumis en balade…

La soumission est une des plus nobles notion du concept actuel de citoyenneté. 
Ainsi, les personnes individuelles d’un groupe donné, acceptent de donner leur souveraineté, à d’autres, pour le bien du groupe. Le tout se fait sur les bases de la foi en ses maîtres, sans aucun moyen de contrôle, de destitution, de reprise du pouvoir délégué à d’autres en cas d’abus de ces « autres ». 


Pour faire fonctionner tout ce système, le pouvoir, celui que vous avez donné sans contre partie, à besoin de petites mains dociles, recrutées très justement, en fonction de leur capacité de calibrage individuel, à ce que « la société » attend d’eux. 

Une fois adoptée, la petite main du pouvoir qu’est le fonctionnaire, peut œuvrer toute sa carrière durant, sécurisé par la confiance que son maître à en lui.  


Je parle souvent du travail de fonctionnaire, dans les termes suivants : « un fonctionnaire, ça n’est pas impossible à virer, mais c’est très difficile, même le dit fonctionnaire s’avère être très défaillant. Le fait qu’il ne travaille pas, ne suffit pas à le virer. Le fait qu’il ne soit pas présent sur son lieu de travail ne suffit pas non plus. Le fait qu’il travaille horriblement mal, soit horriblement défaillant, fera peut-être mobiliser des contrôleurs, ou autres inspecteurs, lui fournira un poste « au placard »,  mais ne suffira pas non-plus à le virer. Le fait qu’il insulte, ou frappe un usager, un collègue, ou un chef, ne suffira pas à le virer non-plus, à moins que la scène ai été filmée et diffusée dans les médias mainstream (et encore, dans ce cas extrême, on est sure de rien). 


En fait, le meilleur moyen de virer un fonctionnaire, est que le ministre de tutelle, puisse personnellement filmer une scène du viol incriminant la personne à virer, sur son lieu de travail. Pour que la procédure fonctionne, il faudra, au préalable, que la personne à virer ai signé un droit à l’image, afin que la vidéo puisse faire office de preuve devant le tribunaux. Ce n’est qu’à partir de là, et suite au procès condamnant le futur ex fonctionnaire, lui deviergifiant son casier judiciaire, que la personne pourra être licenciée de la fonction publique, puisque n’étant plus titulaire d’un casier judiciaire vierge. 
(Ou alors, on peut incriminer le fonctionnaire à virer, comme ayant partagé en public, ou sur les réseaux sociaux, des opinions opposées aux évangiles gouvernementaux. Dans ce cas, il contreviendrait à sa mission première et fondamentale, dans sa représentation de la saine parole et du saint positionnement, écho du pouvoir dont il est la visibilité.De manière générale, ceci est la meilleure méthode du moment pour faire perdre son travail à une personne, et ça fonctionne aussi pour les non-fonctionnaires. )


Le même principe s’applique à la majorité des citoyens français, dans leur approbation tacite aux décisions gouvernementales. Pour que ces derniers se mettent à se bouger le cul en cas d’atteinte grave du pouvoir à leurs droits fondamentaux, il faudrait que l’équipe du gouvernement en son entier, vienne violer directement la grand mère de chaque citoyen non-révolté suite à atteinte à leurs droits fondamentaux, leurs primaires libertés. II faudra également, que la scène soit filmée, puis diffusée sur les médias mainstream, validant ainsi, en tant que preuve pour l’opinion publique, le dit viol massif de grand mère. La validation en délégitimité des actions gouvernementales devra ensuite être discuté sur Balance Ton Poste de Hanouna et être validé par Karine lacombe et Gilbert Deray sur LCI. 


Ce n’est qu’à partir de là, que les dits citoyens, accepteront de signer des pétitions et éventuellement, d’aller manifester dans les quartiers les plus pauvres de Paris, le tout, en maintenant une distanciation sociale de une ou deux rues, entre chaque manifestant. Afin de pouvoir sortir en toute sécurité, les dits manifestant, s’appliqueront en auto-discipline, à boire un litre et demi de gel hydro alcoolique, afin de ne pas risquer de contaminer l’atmosphère des balcons parisiens à chaque expiration. Ils s’exposeront très volontiers à des poursuites judiciaires en cas de non-port du masque sur la bouche, ainsi que du slip sur la tête, des fers au pieds et du drapeau français dans le cul. 

Touche pipi chez les mineurs…

Mais dans quel monde vit-on ?
Ah ces petits enfants innocents, ne sont-ils pas mignons, plein de candeurs, les yeux emplis de volonté de découverte, de découverte de la vie, de découverte du monde…
Il est donc bien normal qu’ils découvrent le monde dans lequel ils évoluent, et qu’ils s’y habituent dès le plus jeune âge.

Ceci doit s’appeler l’éducation.


Ainsi, jeunes garçons et jeunes filles, découvrent très rapidement la bite de leur papa, ou les doigts de leur maman, la ceinture de tonton et les sucettes des voisins.

Ce petit goût sucré, il le garderont, la plupart du temps pour eux, parce qu’il est dans les gênes des bourreaux, de savoir faire taire les victimes sous leur influence. La société fait ça pour les masses, les masses n’ont plus qu’à appliquer localement, le tour est joué !


Ce petit goût sucré, il le garderont pour eux, les petits enfants et le garderont avec eux en grandissant. Rancoeur, amertume et parfois habitudes à reproduire une fois adultes et responsables d’enfants à leur tour, ainsi se construisent psychologiquement bon nombre d’entre-nous.
Je pense qu’à peu près 1 enfants sur 3 à été violé, ou a subit des attouchements durant son enfance. Il n’y a pas de chiffres officiels, c’est peut-être un enfant sur 4, ou sur 5, mais ça fait quand même déjà beaucoup, non ?


Et puis, pour ceux qui n’ont pas eu cette chance, il y a encore tout une vie d’adulte pour se faire violer ou agresser sexuellement (pour le coup, dans ce cas, ça concerne les femmes, TRES majoritairement)


Comme on parle peu du phénomène en société, les gens à qui ces mésaventures ne sont pas arrivé, des gens comme moi, par exemple, peuvent penser que les chiffres avancés plus haut sont très exagérés. Ceux à qui cela est arrivé auront certainement une autre opinion…


Sinon, faites les test prenez trois ou cinq collègues de boulot, amis, connaissances, demandez leur qui a déjà connu pour lui même viol, agression sexuelle, inceste, durant son enfance.
Sans vouloir faire mon prédicateur, il y en aura au moins un…(j’ai fais le test, ça fonctionne, c’est même souvent 2/3 si vous prenez une groupe de femmes)Tout ceci donne une idée de certaines perspectives d’amélioration que nous avons tous dans le « vivre ensemble »…en société.

En attendant, étonnons nous moins des agissements perturbés de nombre de nos confrères et consœurs, les ejacs faciales à 5 ans, bien que riches en protéine, n’apportent pas toujours l’équilibre nécessaire à un enfant pour bien grandir et avoir une vie équilibrée et épanouie en tant qu’adulte.

Anti-masque ?

Anti-masques ?
Ce n’est pas si compliqué de mettre un masque, quand même !
On peut bien faire ce tout petit effort pour protéger nos grands mères, nos veuves et nos orphelins, que diable !


N’allez pas nous faire croire qu’un tout petit masque fait du mal, les médecins en portent un toute la journée !
Et les chinois alors, à Pékin, ils sont nombreux, depuis fort longtemps à en mettre, des masque. Là bas, c’est même entré dans les moeurs et ils n’en sont pas morts !


Malgré toute ces affirmations, que l’on peut entendre, de ci, de là, malheureusement, le masque semble pourtant faire du mal de la manière dont il est utilisé.
Premièrement au niveau sanitaire, mis, remis, mis dans la poche, remis, utilisé en extérieur par 30 degrés…(il faudrait dans ces conditions le changer tous les 1/4 d’heures (préconisations dans les armées), ce que personne ne fait et ce qu’aucun média mainstream ne recommande vraiment…). Beaucoup de maladies, résultants de l’inhalation de champignons, bactéries et carbone aspiré en quantité trop grande sont à prévoir (ces maladies seront peut-être recensées comme du COVID, qui sait…). Oui, les médecins utilisent le masque, mais contre les projections, pas contre les virus. Ils en changent dès qu’ils changent d’espace et s’en servent dans des conditions de climatisation et d’aération toute autre que ce que le grand public fait en pratique. Quand à ceux qui le portent dans les grandes ville chinoises, comme à Pékin, c’est pour se protéger des particules de pollution et non du covid ou de tout autre virus.

Deuxièmement, le masque fait du mal aux libertés publiques, il musèle symboliquement les gens, et les fait prendre l’habitude de ne plus pouvoir respirer, circuler, se réunir librement (le masque et les restrictions qui vont avec, mais le masque est le symbole le plus visible…).Il ne faut pas se leurrer, entre les libertés publiques mises à mal, de plus en plus fréquemment et dans des domaines de plus en plus fournis, et vous, il n’y a aucun Covid actuellement..Il n’y a qu’une volonté politique de vous conditionner à une soumission grimpante, envahissante…A vous normaliser au « meilleur des mondes ». Bravo, test réussi ! Sachez bien que tant que vous réussirez les tests, vous passerez à l’étape supérieure.

Le masque fait du mal, au moins sur ces deux point, mais je pourrais encore largement développer…Lorsque l’épidémie de Covid faisait rage (environ de mars à mai 2020, en France, on circulait sans masque, notamment dans les supermarchés, alors que c’est là que le masque aurait pu être utile, semble t-il. Aujourd’hui, si on veut être prudent, mieux vaut se méfier de ce qu’on touche, que de ce qu’on respire. Les médias mainstream sont alarmistes, font peur à tout le monde, et ne donnent qu’un point de vue, celui d’un pouvoir tendant vers un certain totalitarisme, salutaire pour tenter de contenir sa crise en légitimité( accentuée notamment, suite à la gestion des états occidentaux de l’épidémie lorsqu’elle faisait rage (taux de létalité des plus importants au monde en Europe et en Amérique du nord)).


Je ne suis ni anti-masque, ni ne remet en cause la réalité de cette maladie, dans l’absolu. Il se trouve juste qu’aujourd’hui, il me semble que des gouvernements incapables de protéger convenablement la population lorsqu’il était temps, tentent opportunément de se servir de cette crise sanitaire passée, pour asseoir un pouvoir encore plus autoritaire.

Les médecins et les professions médicales se taisent en majorité, car ce sont en majorité des vendus du système de pouvoir actuel (consciemment pour certains, inconsciemment pour d’autres…)
Voyons ce qu’il se passe vraiment en ce moment même.


Vous voyez du Covid, vraiment ?


Je crois que vous entendez surtout des tests positifs tintamarres par voie médiatique et voyez certaines personnes qui attrapent un rhume, comme souvent en cas de refroidissement lorsque l’automne arrive. Ce qui est réel, en revanche, ce sont les restrictions et vous qui vous y conformez.
Voyez la réalité en face, arrêtez de croire aux fables gouvernementales dispensés dans les médias.

Voyez les faits pour ce qu’ils sont, pas sur ce qu’on peut vous en dire. Prenez conscience du rôle qu’on tente de vous faire jouer, conscientiser le et prenez vos décisions en votre propre connaissance de causes.

Informez-vous, renseignez-vous au delà des informations toutes consommables dont on vous aveugle. Il n’y a qu’ainsi, que vous choisirez réellement le monde dans lequel vous voulez vivre.

La rentrée au son des bottes.

C’est quand même quelque chose, le degré d’obéissance que peut avoir une population, quand on les a bien conditionnés à suivre les sirènes officielles, pourvu qu’elles sonnent à leurs oreilles.
Parlons l’éducation, toujours, l’éducation nationale, encore et de ces agents instructeurs, que l’on appelle professeurs.


Ces chers enseignants, lorsqu’ils enseignent l’histoire, par exemple, semble propager cette idée que le totalitarisme est d’une autre époque et que ce qui était possible en 1940, en Allemagne et en France, ne pourrait plus l’être aujourd’hui.


Rendez-vous compte ! La démocratie, la liberté d’expression, comment le fascisme pourrait-il passer, peuvent-ils en plein enseignement, se questionner. ? ..

Et pourtant, les mêmes, au même endroit, en cette même année 2020, que font-ils, que cautionnent-ils ? A quoi croient-ils et surtout, qu’est-ce qu’ils participent à obliger à leurs élèves de faire ?


Là ou les jeunesses hitlériennes faisaient le salut nazi et apprenaient à détester les juifs, les jeunesses marconiennes, aidées de leur précepteurs officiels, apprennent à mettre le masque, le garder, vivre avec, ce qui implique autant symboliquement, que physiquement, bien autant, à mon avis, qu’un salut nazi généralisé.


Pourquoi tant de haine, puisque le chantage émotionnel bat son plein ! On met le masque pour protéger les vieux, les fragiles, n’est-ce pas l’évidence même ? Vus savez, ces vieux que nos chers maîtres ont laissé et laissent encore crever en EHPAD, à grand coup de rivotril (au mois de mars, médicament autorisé par écrit par notre bien aimé gouvernement, au moment ou si on était trop âgé, on avait plus le droit d’être soigné…) Pour illustrer mon propos, je mets en lien le fact checking du journal 20 minutes, quit ente de justifier que le dcret pris à ce propos n’est pas de l’euthanasie…Allez au delà du titre, lisez tout l’article, c’est très intéressant et c’est le « mainstream qui le dit ! »

https://www.20minutes.fr/societe/2754715-20200404-coronavirus-non-decret-gouvernement-vient-legaliser-euthanasie


Nous en sommes donc là. Les personnels de l’éducation nationale sèment la bonne parole, participent à museler la jeunesse, tout muselés qu’ils sont eux même, tant physiquement que dans leurs pensées très restreintes aux codes officiels..(chuuut, ne leur dites pas, ils ne semblent pas au courant…)


Et alors, que cautionnent-ils au juste, ces gens là ?


Petit exemple, dans bien des communes :
En premier lieu, dès la rentrée, nos maîtres ont donné l’ambiance. Masque obligatoire, pour tous, tout le temps, on connaissait…Mais pour être sure et bien marquer le coup, nos amis du ministère de la défense et du ministère de l’intérieur ont envoyé l’armada de flics, genarmes et autres Storm Troopers aux grilles des établissement lors de l’ouverture des établissements aux élèves. Quand je parle de Storm Troopers, ce n’est pas tellement ironique, puisque nos chers agents, photographiés dans toute la France, sont venu signaler leur présence, questionnant les personnels de l’éduc sur d’éventuels problèmes rencontrés avec le port du masque, entrant dans les cours des établissements scolaire, pour mieux vérifier, en tenue de combat, gilet pare balle, armes et lacrimos à la ceinture…On est loin des gendarmes de St Tropez en chemise…
De quoi commencer l’année en toute sérénité pour les élèves…


Après la rentrée, intensification du processus :
La préfecture étend le port du masque obligatoire en extérieur aux abords des établissements scolaires (50m). On retiendra les noms des préfets, qui font du zèle et qui sont donc personnellement responsables personnellement d’en faire. Des surveillants payés au smic devront donc faire respecter cette règle et ils y auront tout intérêts…Non pas pour des raisons sanitaires, mais bien pour protéger nos élèves de la police et des gendarmes. En effet, comme durant la rentrée scolaire, ces derniers, collaborateurs actif d’un système fasciste, ne manqueront pas de faire respecter la règle en venant vérifier son application..En mettant des amendes à nos élèves, si besoin…Et éventuellement en faisant preuve de leur droit de contrainte physique auprès des jeunes gens qui auraient tendance à la rébellion … Il convient donc protéger les élèves, même à l’extérieur de l’établissement (mais pas du COVID… A quand l’arrêté qui les oblige à porter un masque aux chiottes, quand ils dorment, puisque la tendance actuelle est à la restriction de tout rassemblement, même dans le cadre privé. On risque d’en arriver au confinement, en gardant plus que le travail..Mais il parait que le travail rend libre, alors ça va !

Je ne poserai pas la question traditionnelle du « ou va t-on ? », puisque je vois parfaitement, non pas ou l’on va, mais ou l’on est.

Chacun sera mis devant ses responsabilités, moi, les enseignants, les parents, les préfets et vous tous. N’oubliez pas que la roue tourne et que quand un système approche de sa fin, il devient plus agressif.

Il est temps de sortir de notre léthargie, nous sommes responsables des plus jeunes et des plus anciens, en tant qu’adultes en bonne santé. Ne les laissons plus à la merci d’autocrates cinglés !

A la santé des élèves !

Il faut bien comprendre…Le Covid à l’école, au collège et lycée, à l’université….Vous pensez vraiment que les décisions prises sont sanitaires ?

En cette rentrée 2020, voilà qu’on supprime les seuls trucs qui protégeaient vraiment, et pas que du Covid, des grippes et des gastros également…On supprime la distanciation sociale en classe, à la cantine…On fait voyager les élèves de salles en salles à nouveau, alors qu’on aurait très bien pu faire comme en juin 2020, c’est à dire faire que ce soit ces bourgeois de profs qui se déplacent…Ca aurait fait moins de monde à déplacer, non ?

En fait, toutes les décisions de précaution sanitaire ont été supprimées, pour que les petits et les grands puissent retourner à leurs études…Et leurs parents au travail.

On a maintenu qu’une seule chose, celle qui ne sert à rien sanitairement parlant, qui ne protège d’aucun virus, qui nous fait respirer toute la journée l’air qu’on expire…Mais qui, en revanche, reste bien commode pour maintenir la population muselée, le MASQUE.

Dieu soit loué, l’école, le collège-lycée, l’université, restent le dernier bastion où on a le droit de se réunir…Parce qu’ailleurs, c’est interdit par le Covid…

Le masque pour tous, tout le temps, interdiction de se réunir, même en famille, entre amis….

Bientôt un vaccin obligatoire pour nous permettre de retirer le masque…Ou peut-être qu’on le gardera quand même, par précaution…

Et quand j’entends les zombies du système croire qu’ils le mettent, ce masque, pour « protéger les autres »… Là, je me dis que c’est magnifique !

Des autres, ces gens là n’en on pas plus à faire qu’avant le Covid, mais voilà juste un moyen pratique pour eux de faire la publicité de leur fausse bienveillance à moindre frais…Un peu comme quand ils applaudissent les soignants à 20h, ou qu’ils donnent l’aumône à une asso humanitaire, au téléthon, ou à un clodo dans la rue…Il est aisé de se rassurer sur son empathie et son altruisme en ne faisant pas grand chose et pour faire tout ceci, on peut faire confiance à la population la plus docile au pouvoir que le pouvoir puisse avoir en son sein, les personnels de l’éducation nationale !

Ces plus que droites personnes, avides d’enseigner cette droiture orthodoxe, avec leur bénit masque, en plus de se bousiller la santé, cautionnent activement le fascisme ambiant, comme avant, voir encore plus qu’avant.

Ils ne s’en rendent même pas compte et c’est au delà du surprenant, c’est admirable !

Vous avez dit médecins ?

Vous avez dit médecin ? Cela fait maintenant bien longtemps que l’on forme des hordes de pharmaciens et médecins généralistes (les plus médiocres des facs de médecine) à devenir des incultes de la médecine de terrain, tout juste bon à gober les doxas de big Pharma en cours.
Ils sont devenus, pour la plupart, des sortes d’intermédiaires entre les labos pharmaceutiques, via leurs visiteurs médicaux et leurs CLIENTS.


De nos jours, les bancs des facs de médecine seraient plus des lieux de formation à la bourgeoisie sociale, ou codes, us et coutumes valent presque autant pour réussir, que du bête bachotage des évangiles pasteuriens…(D’ailleurs, la doctrine française officielle de traitement du COVID au plus fort de l’épidémie, reflète bien cet état d’esprit. Je rappelle le traitement : repos et Doliprane et quand tu sens que tu vas bientôt crever, appel au 15, pour intubation sous oxygène (et ses conséquences pour votre santé derrière), ou réanimation directe pour les plus patients des patients. ).

Il y aurait un long travail de réflexion à effectuer sur le fonctionnement de la médecine pasteurienne en France, ainsi que sur la formation des médecins. Ce que l’on peut constater sur le terrain, c’est bien que les plus efficaces de la profession ont été formé à l’étranger et bossent au rabais dans nos hôpitaux.


Aujourd’hui, médecin et surtout médecin généraliste, c’est avant tout une fonction sociale, dans laquelle le notable du lieu prescrit quelques ibuprofènes avec le peu de connaissances médicale qu’il a.


Je généralise, il y a encore de bons médecins généralistes en France, même si personnellement, après en avoir testé une bonne trentaine en 40 ans, je n’ai pas eu l’insigne honneur d’en rencontrer (je me réfère donc, dans cette affirmation, sur des rumeurs, des « on dit. »..). La plupart de ceux que j’ai rencontré, opèrent ce que j’appelle « le soin au stylo », consistant en un bonjour de politesse, le CLIENT qui raconte ses problèmes, puis le médecin qui écrit sur son ordonnance ibuprofen, antidépresseur, goutte pour les oreilles…Vous aurez remarqué que dans mon petit résumé, il n’y a pas de référence à une osculation, un questionnement du médecin…A priori, les médecins que j’ai vu n’en avaient pas besoin pour savoir écrire sur l’ordonnance. Et à la fin, on oubli pas le chèque, même si la consultation n’aura pas dépassé les 5 minutes…


Aujourd’hui, beaucoup de ces médecins sont autant déconnectés de leurs patients, qu’ils le sont de la médecine. Ils jouent le rôle (inconsciemment pour la plupart), de contrôleurs sociaux dans le domaine médical, autant que les enseignants le font dans le domaine éducatif. Ils sont des intermédiaires, en tant que petits bourgeois locaux, tout comme les enseignants, entre le pouvoir bourgeois global et le tout venant social qu’ils rencontrent chaque jour. Il permettent à la bourgeoisie d’avoir un regard sur ce qui peut se passer chez les gueux.


Il semblerait que nos médecins, comme nos professeurs, joueraient un rôle de contrôleurs sociaux, représentants locaux du pouvoir culturel bourgeois, relayant ses codes labellisés auprès de la population.


Il sera très compliqué de demander à cette corporation de s’opposer au pouvoir. En effet, elle est par essence recrutée, entre autre, pour sa capacité à se fondre dans le moule du système, ses codes, valeurs, normes, éthique, d’y adhérer et d’être la voix du pouvoir auprès de ceux qu’ils côtoient, dans la vie, comme au travail (on pourrait détailler sur ce principe, dans un prochain article). Certains se rebellent, comme certains enseignants, ou policiers, mais ils sont très rares, car recrutés, entre autre, pour leur potentielle incapacité à le faire (se rebeller contre un ordre établit).


En ces temps de COVID, certains comprennent ces contradiction entre la science médicale, à laquelle ils continuent de croire, malgré tout et ce que le pouvoir, auquel ils croient également, leur demande de faire. Dilemme entre deux religions…


Cas de conscience pour de nombreux soignants qui côtoient chaque jour, la réalité des faits des malades qu’ils reçoivent sur le terrain et son éloignement par rapports aux alarmes gouvernementales quotidiennes relayées par les médias à la population.


Malheureusement, ces populations de notables sociaux du domaine médical, privilégient bien plus souvent conformisme à rationalisme, collaborationnisme, à devoir de résistance citoyenne…S’ils se posent trop de questions et surtout, trop en public, l’ordre des médecins (qui porte bien son nom), leur rappelle que leur situation sociale confortable est susceptible d’évoluer s’ils n’adhèrent plus et ne diffusent plus les codes qui les légitiment à cette place. On ne mord pas la main qui nous nourrit, quand même !

Ainsi, la majorité des médecins soigneront plus nos maux, avec leurs mots, qu’avec la science, en espérant que cela continue de convenir à leurs clients…Heuuuu, patients.

Vivons heureux, vivons masqués

Ca ne fait pas de mal, un bon petit coup de flip, non ? 
Vous croyez que vous pouvez vivre normalement, comme bon vous semble, en ayant l’impression que vous pouvez décider pour vous, que vous faites vos choix…


Heureusement, pour le bienfait de tous, l’ordre mondial, l’ordre moral, nous rappelle à la réalité du « bien vivre ensemble », de manière assez régulière pour que nous ne prenions pas trop de largesse avec la coutume. 


En cet an de grâce 2020, après avoir passé tout ce début de siècle à la merci des vilains terroristes, nous voilà les victimes bien consentantes, de la nouvelle épidémie à la mode, la pandémie Covid. 


Finalement, rien de très neuf, vous avez peur comme avant, peur de tout, de tout le monde, comme on vous l’appris et c’est très bien. En effet, comme vous n’êtes pas assez intelligents pour comprendre qu’il est dans votre intérêt d’être les idiots utiles d’un système qui vous nourrit à moindre frais, nos chers maîtres ont jugés nécessaire de maintenir les cons que vous êtes dans la crainte de tout ce qui pourrait leur arriver. 


S’il n’arrive rien d’effrayant de manière effective, il suffit alors d’inventer une histoire, qui comme toutes les bonnes histoires, mêle le réel à l’illusion, de manière à rendre crédible la fiction. 
Croire que c’est de la peur elle même, dont il faut se méfier, n’est qu’une vaste supercherie. Il faut aimer la peur, l’embrasser, la serrer contre soi, afin qu’elle continue de nous protéger contre tout ce qui pourrait lui nuire. 

Dans le doute, suivez les voix les plus fortes, qui portent le plus, qui vous arrivent aux oreilles sans que vous n’ayez à faire trop d’effort. Suivez les échos officiels sans réfléchir, rien ne sert de se triturer l’esprit à s’en faire mal à la tête, vous travaillez déjà bien assez pour ça. 
Si plus de travail, crise économique oblige, alors soyez assez choqués et déprimés pour que la fée du train social se penche sur votre berceau d’angoisse. Si rien ne vient, laissez-vous aller, consommez une dernière fois et rappelez-vous avant d’en finir, votre gloire passée à l’œuvre commune de ce monde merveilleux. 

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Tout le monde doit mourir, tout le monde doit servir…

Quand le service finit, un nouveau monde commence ?